« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 6 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/245]]==
 
<center>'''Un ami de grande route.'''</center>
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possible la grande route. Se lancer hors du chemin tracé, c’était
l’incertain, l’inconnu, c’était la mort à bref délai.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/246]]==
 
Comment Nadia put-elle supporter les fatigues de cette nuit du 16 au
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— Oui, répondit la jeune fille, je suis près de toi, et je ne te
quitterai plus, Michel. »
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/247]]==
 
À son nom, prononcé par Nadia pour la première fois, Michel Strogoff
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fait avec de l’orge, et un peu de cet hydromel connu sous le nom de
« méod » en Russie. Cela ne lui avait rien coûté, car elle avait
commencé
commencé son métier de mendiante. Ce pain et cet hydromel avaient,
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/248]]==
commencé son métier de mendiante. Ce pain et cet hydromel avaient,
tant bien que mal, apaisé la faim et la soif de Michel Strogoff. Nadia
lui avait réservé la plus grande portion de cette insuffisante
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Michel et Nadia quittèrent Sémilowskoë et reprirent cette pénible
route d’Irkoutsk. La jeune fille résistait énergiquement à la fatigue.
Si Michel Strogoff l’eût vue, peut-être n’aurait-il pas eu le courage
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/249]]==
vue, peut-être n’aurait-il pas eu le courage
d’aller plus loin. Mais Nadia ne se plaignait pas, et Michel Strogoff,
n’entendant pas un soupir, marchait avec une hâte qu’il n’était pas
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Michel Strogoff allait donc, parlant peu, absorbé dans ses pensées. Il
tenait la
tenait la main de Nadia. Tous deux étaient en communication
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/250]]==
tenait la main de Nadia. Tous deux étaient en communication
incessante. Il leur semblait qu’ils n’avaient plus besoin de la parole
pour échanger leurs pensées. De temps en temps, Michel Strogoff
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La charrette arriva bientôt au tournant de la route.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/251]]==
 
C’était un véhicule fort délabré, pouvant à la rigueur contenir trois
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— Frère, s’écria Nadia… je ne veux pas… je ne veux pas ! — Monsieur,
mon frère est aveugle !
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/252]]==
 
— Aveugle ! répondit le jeune homme d’une voix émue.
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— De très loin.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/253]]==
 
— Pauvres jeunes gens ! — Cela a dû te faire bien mal, quand ils t’ont
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moins, et Nicolas avait mis généreusement ses réserves à la
disposition de ses deux hôtes, qu’il croyait frère et sœur.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/254]]==
 
Après une journée de repos, Nadia eut recouvré une partie de ses
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Michel Strogoff secoua la tête d’un air de doute.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/255]]==
 
« Tu ne le crois pas, petit père, répondit Nicolas. Tu penses qu’ils se