« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 14 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/145]]==
 
<center>'''Mère et fils.'''</center>
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Omsk, à proprement parler, se compose de deux villes distinctes, l’une
qui
qui est uniquement habitée par les autorités et les fonctionnaires,
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/146]]==
qui est uniquement habitée par les autorités et les fonctionnaires,
l’autre où demeurent plus spécialement les marchands sibériens, bien
qu’elle soit peu commerçante cependant.
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Irkoutsk était le véritable objectif d’Ivan Ogareff.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/147]]==
 
Le plan de ce traître était de se faire agréer du grand-duc sous un
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Mais, malgré tant d’épreuves, le sentiment du devoir dominait son âme
tout entière.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/148]]==
 
« Où suis-je ? demanda-t-il.
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coup qui lui avait été porté à la tête, et dont son bonnet de fourrure
avait heureusement amorti la violence. Avec l’énergie qu’on lui
connaît, il n’était pas homme à se laisser abattre pour si peu. Un
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/149]]==
Un
seul but se dressait devant ses yeux, c’était cette lointaine Irkoutsk
qu’il lui fallait atteindre ! Mais il lui fallait traverser Omsk sans
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ville, mais les brèches, pratiquées à l’enceinte, devaient faciliter
la sortie de Michel Strogoff.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/150]]==
 
Le moujik conduisait donc son hôte directement au relais, lorsque,
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Sangarre, qu’Ivan Ogareff avait pu quitter la province de
Nijni-Novgorod, où il était allé chercher, parmi les étrangers si
nombreux que la foire avait amenés de l’Asie centrale, les affidés
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/151]]==
affidés
qu’il voulait associer à l’accomplissement de son œuvre maudite.
Sangarre et ses tsiganes, véritables espions à sa solde, lui étaient
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Michel Strogoff prêtait une oreille attentive à tout ce qui se disait,
mais il ne se mêlait point aux conversations.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/152]]==
 
Tout à coup, un cri le fit tressaillir, un cri qui le pénétra jusqu’au
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Vingt personnes étaient réunies dans la salle commune. Parmi elles, il
y
y avait peut-être des espions, et ne savait-on pas dans la ville que
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/153]]==
y avait peut-être des espions, et ne savait-on pas dans la ville que
le fils de Maria Strogoff appartenait au corps des courriers du czar ?
 
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— Vous vous trompez !… répondit froidement Michel Strogoff. Une
ressemblance vous abuse… »
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/154]]==
 
La vieille Marfa alla droit à lui, et là, les yeux dans les yeux :
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Quelques instants après, Marfa Strogoff se trouvait au bivouac de la
grande
grande place, en présence d’Ivan Ogareff, auquel tous les détails de
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/155]]==
grande place, en présence d’Ivan Ogareff, auquel tous les détails de
cette scène avaient été rapportés immédiatement.
 
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Donc, pour Ivan Ogareff, il n’était plus douteux que le prétendu
Nicolas Korpanoff ne fût Michel Strogoff, courrier du czar, se cachant
sous un faux nom, et chargé de quelque mission qu’il eût été capital
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/156]]==
chargé de quelque mission qu’il eût été capital
pour lui de connaître. Aussi donna-t-il immédiatement ordre de se
mettre à sa poursuite. Puis :