« Michel Strogoff/Partie 1/Chapitre 11 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/109]]==
 
<center>'''Voyageurs en détresse.'''</center>
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— Non, reste, Nadia. L’iemschik demeurera près de toi. Je ne veux pas
le laisser seul…
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— Je resterai, répondit Nadia.
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Celui qui parlait ainsi était véritablement dans une grosse colère.
Mais tout à coup, il sembla à Michel Strogoff que le second
interlocuteur prenait son parti de ce qui se passait, car l’éclat de
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parti de ce qui se passait, car l’éclat de
rire le plus inattendu, au milieu d’une telle scène, retentit soudain
et fut suivi de ces paroles :
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— Je vous fais juge, monsieur Korpanoff, répondit Alcide Jolivet.
Imaginez-vous que notre postillon est parti avec l’avant-train de son
infernal véhicule, nous laissant en panne sur l’arrière-train de son
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laissant en panne sur l’arrière-train de son
absurde équipage ! La pire moitié d’une télègue pour deux, plus de
guide, plus de chevaux ! N’est-ce pas absolument et superlativement
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— Rien n’est plus simple, répondit Alcide Jolivet. Vous allez vous
atteler à ce qui nous reste de voiture ; moi, je prendrai les guides,
je vous appellerai mon petit pigeon, comme un véritable iemschik, et
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petit pigeon, comme un véritable iemschik, et
vous marcherez comme un vrai postier !
 
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« Messieurs, dit-il alors, il y a mieux à faire. Nous sommes arrivés,
ici, au col supérieur de la chaîne de l’Oural, et, par conséquent,
nous n’avons plus maintenant qu’à descendre les pentes de la montagne.
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qu’à descendre les pentes de la montagne.
Ma voiture est là, à cinq cents pas en arrière. Je vous prêterai un de
mes chevaux, on l’attellera à la caisse de votre télègue, et demain,
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Tout en marchant, Alcide Jolivet, suivant son habitude, causait avec
sa bonne humeur, que rien ne pouvait altérer.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/115]]==
 
« Ma foi, monsieur Korpanoff, dit-il à Michel Strogoff, vous nous tirez
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de s’arrêter à Ichim, sans immédiatement continuer sur Omsk, il n’y
avait aucun inconvénient à faire avec eux cette partie du voyage.
==[[Page:Verne - Michel Strogoff - Un drame au Mexique, 1905.djvu/116]]==
 
« Eh bien, messieurs, répondit-il, voilà qui est convenu. Nous ferons
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Michel Strogoff n’écoutait plus les réparties qu’Harry Blount et
Alcide
Alcide Jolivet échangeaient entre eux. Il songeait à cette troupe de
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Alcide Jolivet échangeaient entre eux. Il songeait à cette troupe de
bohémiens, à ce vieux tsigane dont il n’avait pu voir le visage, à la
femme étrange qui l’accompagnait, au singulier regard qu’elle avait
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l’avait pas vue tout d’abord, s’était attaqué à l’autre cheval de
l’attelage. Nadia, quittant alors l’anfractuosité dans laquelle elle
s’était blottie, avait couru à la voiture, pris un des revolvers de
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pris un des revolvers de
Michel Strogoff, et, marchant hardiment sur l’ours, elle avait fait
feu à bout portant.
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Nadia s’inclina légèrement.
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Alcide Jolivet, se tournant alors vers son compagnon :
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Ce digne Russe avait vraiment une bonne figure, et, sans plus
d’embarras,
d’embarras, l’œil souriant, il s’avança vers ses voyageurs, et, leur
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d’embarras, l’œil souriant, il s’avança vers ses voyageurs, et, leur
tendant la main, il réclama son pourboire.
 
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droit, mon cher confrère ! Ce n’est pas sa faute si nous n’avons pas
trouvé le moyen de le suivre ! ».
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Et tirant quelques kopeks de sa poche :
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— Je ne la sais pas, répondit Harry Blount.
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— Alors, vous ne savez pas non plus ce qu’était devenu ce nourrisson,