« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 2 » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Typographie |
|||
Ligne 121 :
— Lorsque nous serons à Tomsk.
— Et nous y serons ?
— Dans trois jours. »
Ligne 340 :
— Jusqu’au moment, très prochain, je l’espère, où nous pourrons
rejoindre quelque corps russe ?
— Comme vous dites, mon cher Blount ! Il ne faut pas trop se
Ligne 462 :
secret, si, toute femme, tout enfant qu’elle était, elle eût pu mener
à bonne fin la tâche interrompue de ce frère que Dieu n’aurait pas dû
lui donner, puisqu’il devait sitôt le lui reprendre !
Absorbée dans ces pensées, on comprend que Nadia fût demeurée comme
Ligne 634 :
Korpanoff, ou plutôt Michel Strogoff, n’avait pas péri dans les eaux
de l’Irtyche, puisque c’était quelques jours après cet incident
qu’elle l’avait rencontré, qu’elle lui avait parlé !
Mais elle se contint, elle se tut, et se borna à dire :
Ligne 641 :
Tu reverras ton père, j’en ai le pressentiment, et, peut-être, celui
qui te donnait le nom de sœur n’est-il pas mort ! Dieu ne peut pas
permettre que ton brave compagnon ait péri !
espère ! Fais comme moi ! Le deuil que je porte n’est pas encore celui
de mon fils ! »
|