« Michel Strogoff/Partie 2/Chapitre 2 » : différence entre les versions

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— Lorsque nous serons à Tomsk.
 
— Et nous y serons ?...
 
— Dans trois jours. »
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— Jusqu’au moment, très prochain, je l’espère, où nous pourrons
rejoindre quelque corps russe ?...
 
— Comme vous dites, mon cher Blount ! Il ne faut pas trop se
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secret, si, toute femme, tout enfant qu’elle était, elle eût pu mener
à bonne fin la tâche interrompue de ce frère que Dieu n’aurait pas dû
lui donner, puisqu’il devait sitôt le lui reprendre !...
 
Absorbée dans ces pensées, on comprend que Nadia fût demeurée comme
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Korpanoff, ou plutôt Michel Strogoff, n’avait pas péri dans les eaux
de l’Irtyche, puisque c’était quelques jours après cet incident
qu’elle l’avait rencontré, qu’elle lui avait parlé !...
 
Mais elle se contint, elle se tut, et se borna à dire :
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Tu reverras ton père, j’en ai le pressentiment, et, peut-être, celui
qui te donnait le nom de sœur n’est-il pas mort ! Dieu ne peut pas
permettre que ton brave compagnon ait péri !... Espère, ma fille !
espère ! Fais comme moi ! Le deuil que je porte n’est pas encore celui
de mon fils ! »