« Contes d’Andersen/La Vieille Maison » : différence entre les versions

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tout à fait la vue d’un côté. Son escalier est large
comme celui d’un château, et haut comme celui
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d’une tour d’église. La grande porte de fer massif
ressemble à celle d’un ancien sépulcre, avec ses
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de papier, descendit dans la rue, et dit au vieux
domestique : « Écoute, si tu veux porter cela au
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vieux monsieur, en face, tu me feras plaisir. J’ai
deux soldats de plomb, et je lui en donne un,
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Puis il prit sur une planche un livre d’images
où l’on voyait des processions magnifiques, des
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carrosses bizarres, comme il n’y en a plus, et des
soldats portant l’uniforme du valet de trèfle. On
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Et, tandis que le petit garçon regardait les images,
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le vieillard alla dans la chambre voisine
chercher de la confiture, des pommes et des noisettes.
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Après s’être bien régalé, il retourna heureux et
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content chez lui ; et il ne manquait pas de faire
un signe amical à son vieil ami, chaque fois qu’il
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Ensuite il ouvrit son clavecin, joua un
menuet et fredonna une ancienne chanson.
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« En guerre ! en guerre ! » s’écria le soldat de
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Le printemps suivant, la maison fut démolie.
« Ce n’est qu’une baraque ! » répétait tout le
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monde ; et, en quelques heures, on ne vit plus
qu’un monceau de débris.
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l’histoire d’un autre soldat de plomb qui m’a appartenu
lorsque j’étais enfant. »
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Alors il raconta à sa femme l’histoire de la vieille
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— Non, répondit le mari, j’ignore où elle est,
et tout le monde l’ignore comme moi. Tous ses
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amis étaient morts avant lui, personne ne l’accompagna
à sa dernière demeure, et moi je n’étais
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oublié. »
 
[[Image :Bertall_ill_Les_Habits_Neufs_du_Grand_Duc_fin.png|center|100px|Vignette de Bertall]]
=== no match ===
de Bertall]]