« Contes d’Andersen/La Grosse Aiguille » : différence entre les versions
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Et en effet elle se brisa.
«
« Ne l’ai-je pas dit ? s’écria t-elle ; je suis trop▼
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fine.
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« Je suis trop fine pour ce monde-là ! dit-elle
pendant qu’elle gisait sur l’évier. Mais je sais ce
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que je suis, et c’est toujours une petite satisfaction. »
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— Quelque chose d’approchant. »
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Et alors chacun d’eux fut persuadé que l’autre
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« Le troisième regardait par-dessus les épaules
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de tous les autres. Le quatrième portait une ceinture
d’or, et le petit dernier ne faisait rien du
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Un jour, des gamins vinrent fouiller dans le
ruisseau. Ils cherchaient de vieux clous, des
liards et autres richesses pareilles. Le travail
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tait
pas ragoûtant ; mais que voulez-vous ? ils y
trouvaient leur plaisir, et chacun prend le sien où
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« À la bonne heure ! dit-elle ; maintenant je
dois faire de l’effet, puisque je suis noire et que
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les murailles qui m’entourent sont toutes blanches.
On m’aperçoit, au moins ! Pourvu que je
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y reste !
[[Image:Bertall_ill_Les_Habits_Neufs_du_Grand_Duc_fin.png|center|100px|Vignette
=== no match ===
de Bertall]]
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