« Contes d’Andersen/Le Briquet » : différence entre les versions

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— Merci, vieille sorcière, répondit le soldat.
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— Vois tu ce grand arbre ? continua la sorcière
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Si c’est de l’or que tu préfères, tu en auras aussi
autant que tu voudras ; pour cela, il te suffit d’entrer
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dans la troisième chambre. Mais le chien qui
est assis sur la caisse a des yeux aussi grands que
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— Voilà qui me convient, dit le soldat ; mais
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que veux-tu que je te donne, vieille sorcière ? Il
te faut ta part aussi, je pense.
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Mais, en voyant la grande quantité de monnaie
d’argent que contenait la caisse, il jeta tous
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ses sous de cuivre, et bourra d’argent ses poches**
et son sac.
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route, les poches, le sac, les bottes et la casquette
pleins d’or.
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« Que vas-tu faire de ce briquet, demanda le
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— C’est bien difficile ! lui répondit-on. Elle demeure
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dans un grand château de cuivre, entouré
de murailles et de tours. Personne, excepté le roi,
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qu’il s’en trouvait un petit bout dans le briquet
de l’arbre creux. Il saisit donc le briquet et le
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bout de chandelle ; mais, au moment même où
les étincelles jaillirent du caillou, la porte s’ouvrit
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Il fit feu. Houp ! voilà le chien avec les yeux comme
des tasses à thé qui est déjà présent.
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« Pardon ! il est bien tard, dit le soldat, mais je
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Mais le lendemain tout en prenant le thé avec le
roi et la reine, elle leur raconta un rêve bizarre
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qu’elle avait eu la nuit d’un chien et d’un soldat.
 
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C’est là ! dit le roi en apercevant la première
porte marquée d’une croix.
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— Non, c’est là, mon cher mari, répliqua la
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et il avait oublié, le malheureux, son briquet
dans l’auberge. Le jour suivant, il vit, à travers
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les barreaux de sa fenêtre, le peuple qui sortait
en foule de la ville, afin de le voir pendre. Tout
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grâce au pécheur qui va mourir. Il avait grande
envie de fumer une pipe, ce serait la dernière.
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Le roi ne put lui refuser cela. Donc le soldat