« Contes d’Andersen/La Bergère et le ramoneur » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Phe-bot (discussion | contributions)
m Shaihulud: match
m ajustement match
Ligne 16 :
 
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/41]]==
 
<nowiki/>
 
Ligne 95 ⟶ 94 :
bien-aimé le ramoneur.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/44]]==
<nowiki/>
 
« Je t’en prie, dit-elle, aide-moi à m’échapper
Ligne 196 :
où mettre ses petits pieds de porcelaine.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/47]]==
<nowiki/>
 
Ils arrivèrent ainsi jusqu’au rebord de la cheminée
Ligne 262 ⟶ 263 :
cette peine.
==[[Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/49]]==
<nowiki/>
 
— Oh&nbsp;! Si seulement notre vieux grand-père était
Ligne 289 ⟶ 291 :
 
(1) En Allemagne, on monte souvent à la fenêtre par une marche en bois dans laquelle est pratiqué
=== no match ===
un tiroir.
 
 
[[Image:Bertall_ill_Les_Habits_Neufs_du_Grand_Duc_fin.png|center|100px|Vignette de Bertall]]
</DIV>