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 <poem>Quant ce qui deust me garder me fortune
-{{numVers|5}}Et veult que vive en perverse fortune ;
+{{numVers|5}}Et veult que vive<ref>''Ms. fr''. 9223 vne.</ref> en perverse fortune ;
 Par quoy puis dire pour les maulx que j’acueil :
 Fortune veuit [le rebours de mon vueil.]
 {{Centré|{{sc|clxi}}}}
 {{Centré|ANTHOINE}}
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 A ceulx qui ont fait tel rapport
 J’ameroye mieulx avoir la mort,
 Ou je soye de Dieu mauldit.
 {{numVers|5}} Seulement penser n’oseroye
 Ce que maintienent que j’ay fait ;
-II ne font que chercher 1 la voye,
+II ne font que chercher<ref>{{sc|clxi}}. ''Ms. fr''. 9223 chers.</ref> la voye,
 Adfin que je soye deffait.
 A poy que mon cueur ne fendit
 {{numVers|10}}De douleur et de desconfort,
 Quant je m’oys blamer à tort,
 En moy servant d’ung sy let dit
-De par Dieu, [ce n’est pas bien dit.</poem>
+De<ref>''Ms. fr''. 9223 He.</ref>  par Dieu, [ce n’est pas bien dit].</poem>
-. Af!)’. g2:3 vne.
-CLXI. i. Ms. fr. 9223 chers. a. ~.y; 9-:23 He.