« Colomba et autres contes et nouvelles/La Vénus d’Ille » : différence entre les versions
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Modifications grec |
Traduction des textes en latin |
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Ligne 101 :
— Blessé par Vénus monsieur, dit M. de Peyrehorade riant d’un gros rire, blessé par Vénus, le maraud se plaint.
<center>{{T|Les attraits de Vénus, tu ne les connaîtras pas|''veneris nec praemia noris''}}</center>
Qui n’a été blessé par Vénus ? »
Ligne 164 ⟶ 163 :
<center>CAVE AMANTEM.</center>
«
— Mais, répondis-je, il y a deux sens. On peut traduire : « Prends garde à celui qui t’aime, défie-toi des amants. » Mais, dans ce sens, je ne sais si ''cave amantem'' serait d’une bonne latinité. En voyant l’expression diabolique de la dame, je croirais plutôt que l’artiste a voulu mettre en garde le spectateur contre cette terrible beauté. Je traduirais donc : « Prends garde à toi si ''elle'' t’aime. »
Ligne 266 ⟶ 265 :
— Au moins, dit M. de Peyrehorade, tu me permettras de lui mettre sur la tête une couronne de roses et de lis :
<center>{{T|Prodiguez des lis à pleines mains|''Manibus date lilia plenis.''}}</center>
Vous le voyez, monsieur, la charte est un vain mot. Nous n’avons pas la liberté des cultes ! »
Ligne 301 ⟶ 299 :
Nous étions à Puygarrig, et le cortège allait se mettre en marche pour la mairie, lorsque M. Alphonse, se frappant le front, me dit tout bas :
« Quelle brioche
— Vous pourriez envoyer quelqu’un, lui dis-je.
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