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Il va sans dire que, pour se mettre à table, on s’asseyait à terre.
Les pensées de chacun se rapportaient en effet à la situation présente ; les esprits étaient en proie à cette prédominante idée du pôle Nord. Dangers bravés pour l’atteindre, périls à vaincre pour en revenir, s’oubliaient dans ce succès sans précédent. Ce que ni les anciens, ni les modernes, ce que ni les Européens, ni les Américains, ni les Asiatiques n’avaient pu faire jusqu’ici, venait d’être accompli.
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Ce fut avec un véritable enthousiasme qu’il proposa de porter tout d’abord un toast au capitaine.
Les tasses se choquèrent, et les toasts furent suivis de chaleureuses poignées de main.
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==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/444]]== mouvement de rotation qui s’accomplit en vingt-quatre heures, et ce mouvement est supposé s’opérer sur un axe dont les extrémités passent au pôle Nord et au pôle Sud. Eh bien ! nous sommes à l’une des extrémités de cet axe nécessairement immobile. ==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/445]]==
==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/446]]== question que les savants débattirent longtemps à la suite d’une singulière découverte. ==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/447]]==
Hatteras ne répondit pas. Évidemment, il n’était pas à la conversation, ou bien il l’écoutait sans l’entendre.
==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/448]]== effet, l’aplatissement devrait en avoir un plus curieux et plus personnel, dont nous nous apercevrions si nous étions doués d’une sensibilité mathématique. ==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/449]]== ont là une tendance à s’écarter de la terre ; ils y sont donc moins pesants. ==[[Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/450]]== proposa à Humphry Davy, Humboldt et Arago de tenter le voyage ! Mais ces savants refusèrent. |