« Le Jeu de l’amour et du hasard » : différence entre les versions
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Ligne 2 014 :
Ah ! Madame, sans lui j'allais vous dire de belles choses, et je n'en trouverai plus que de
communes à cette heure, hormis mon amour qui est extraordinaire.
mon amour, quand est-ce que le vôtre lui tiendra compagnie ?
Ligne 2 028 :
ARLEQUIN
Et croyez-vous que cela vienne bientôt ?
Ligne 2 040 :
ARLEQUIN
Que voulez-vous ? Je brûle
Ligne 2 046 :
LISETTE
S'il m'était permis de m'expliquer si vite...
Ligne 2 064 :
ARLEQUIN
Ce n'est donc pas la retenue d'à présent;
Ligne 2 070 :
LISETTE
Mais
Ligne 2 076 :
ARLEQUIN
Dites-moi un petit brin que vous m'aimez.
Princesse.
Ligne 2 084 :
LISETTE
Quel insatiable !
Ligne 2 092 :
Eh bien, Madame, je me meurs ; mon bonheur me confond, j'ai peur d'en courir les
champs.
Ligne 2 098 :
LISETTE
J'aurais lieu à mon tour d'être étonnée de la promptitude de votre hommage.
m'aimerez-vous moins quand nous nous connaîtrons mieux.
Ligne 2 106 :
ARLEQUIN
Ah, Madame, quand nous en serons là, j'y perdrai beaucoup
Ligne 2 118 :
ARLEQUIN
Et vous, Madame, vous ne savez pas les miennes
genoux.
Ligne 2 150 :
LISETTE
Puis-je me flatter que vous
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ARLEQUIN
Hélas
martinet à la main descendre à la cave, vous auriez toujours été ma Princesse.
Ligne 2 170 :
ARLEQUIN
Pour les fortifier de part et d'autre, jurons-nous de nous aimer toujours, en dépit de toutes
les fautes d'orthographe que vous aurez faites sur mon compte.
Ligne 2 184 :
ARLEQUIN se met à genoux.
Votre bonté m'éblouit
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LISETTE
Arrêtez-vous
y laisser ; levez-vous. Voilà encore quelqu'un.▼
===SCÈNE 6 - LISETTE, ARLEQUIN, SILVIA===
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