« La Maison Tellier (recueil, Ollendorff 1891)/Histoire d’une fille de ferme » : différence entre les versions

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Elle restait toujours immobile, l’œil effaré, ne cherchant même pas à comprendre, tant ses idées tourbillonnaient comme à l’approche d’un grand danger. Il attendit une seconde, puis continua :
 
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— Vois-tu, une ferme sans maîtresse, ça ne peut pas aller, même avec une servante comme toi.
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Elle ne répondit pas. Que pouvait-elle dire ? Elle ne résista point. Que pouvait-elle faire ?
 
 
 
 
== IV ==