« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Vierge (sainte) » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Vertu|Vertu]]</center>
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avec ferveur<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]]. Dans les légendes des miracles dus à la Vierge, si nombreuses
au XIII<sup>e</sup> siècle, parfois poétiques, souvent puériles, il y a toujours un côté gaulois. C'est avec une dignité douce et fine que la
Vierge sait faire tomber le diable dans ses propres piégespièges. Les artistes,
particulièrement, semblent posséder le privilégeprivilège d'exercer l'indulgente
sollicitude de la mère du Christ; musiciens, poëtes, peintres et sculpteurs
lui rendent-ils aussi à l'envi un hommage auquel, en sa qualité
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du moyen âge et qui en éclaire les plus sombres pages.
 
La Vierge possède d'ailleurs les privilégesprivilèges de la Divinité, car c'est de
son propre mouvement, et sans recourir à son fils, qu'elle accomplit ses
actes miséricordieux; elle paraît pourvue de la procuration la plus
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d'art entend gratifier la statuaire du moyen âge. Plus de dragon sous les
pieds de la Vierge dorée d'Amiens; son nimbe, richement orné de pierreries
et de cannelures gironnées, est soutenu par trois angeletsangelots d'un
charmant travail.
 
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que l'on refit le tympan de la porte principale. Pour nous, cette statue
de saint Étienne occupait le trumeau de la porte de droite avant la ruine
de la tour. Sa position au trumeau central dérange complétementcomplètement toute
l'iconographie de la partie ancienne de cette porte, faite pour accompagner
la statue du Christ.