« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Triforium » : différence entre les versions
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{{TextQuality|100%}}<div class=prose>
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tribune|Tribune]]</center>
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des charpentes, pendant le XI<sup>e</sup> siècle, l'arc-doubleau portait un pignon
avec claire-voie, sur les pentes duquel s'appuyait le solivage du comble<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]].
On laissa donc l'arc-doubleau à sa place, ainsi qu'on le voit en P (fig. 1)<span id="note5"></span>[[#footnote5|<sup>5</sup>]],
en jetant le berceau en D à la place du lambris. Le demi-berceau E du
triforium venait contre-buter le berceau central, tandis que l'arc-doubleau
Ligne 180 :
centrale du vaisseau, les dispositions prises par son devancier. Il construisit
les voûtes du triforium transversalement rampantes, afin de démasquer
se tenait sur le pavé de la nef. À l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]] (fig. 2, 3 et 4), nous
rendons compte de cette disposition, assez clairement pour qu'il ne soit
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la claire-voie est divisée en deux travées, la pilette P portant le meneau
central de la fenêtre et reposant sur la clef de l'archivolte du collatérals<span id="note17"></span>[[#footnote17|<sup>17</sup>]].
En H, est tracée, a une plus grande
de la pilette P, avec les tailloirs des chapiteaux, celle d'une des
colonnettes; et en I, la section du profil de l'arc I'. On remarquera que
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