« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Sanctuaire » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Liens inter-articles
Ligne 1 :
{{TextQuality|100%}}<div class=prose>
{| width=100% border="0"
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Salle|Salle]]</center>
Ligne 56 :
XII<sup>e</sup> siècle ou au commencement du XIII<sup>e</sup>, ne possédaient pas, à proprement
parler, de sanctuaire, mais seulement un chœur au milieu duquel
s'élevait l'autel. La <i>cathedra</i>, le siégesiège épiscopal, était posée au fond du
chœur, derrière l'autel. Il faut se reporter au temps où furent élevés ces
grands monuments, pour apprécier les motifs qui avaient fait adopter
Ligne 77 :
au centre du rond-point. Tout sanctuaire implique la présence d'une
confession, d'une crypte contenant un ou plusieurs corps saints; or, les
grandes cathédratescathédrales, rebâties aux XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles, sauf de rares exceptions<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]],
ne possédaient pas de cryptes, partant pas de sanctuaires.