« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Cuisine » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Crypte|Crypte]]</center>
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cette construction, nous donnons (3), en A, la coupe sur la
ligne KL, et, en B, la coupe sur la ligne KN du plan. La cuisine de
Marmoutier est complétementcomplètement isolée, mais voisine du réfectoire.
</div>
[[Image:Plan.cuisine.abbaye.Marmoutier.png|center]]
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mets avant et après leur cuisson; des fourneaux sont établis sous les
manteaux de cheminées. Avant le XII<sup>e</sup> siècle on ne mangeait que des
viandes rotiesrôties et des légumes bouillis. L'art des ragoûts était à peu près
ignoré. Ce qu'il fallait donc dans une cuisine, c'était de grands feux clairs,
de larges foyers propres à placer de nombreuses et longues broches, à
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[[Image:Plan.cuisine.abbaye.Saint.Pierre.Chartres.png|center]]
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La fig. 10 présente, en A, le plan du rez-de -chaussée, et, en B, le plan
du premier étage de cette cuisine, bâtie, comme les précédentes, sur plan
circulaire. La salle renfermait six foyers C, surmontés d'une voûte formant
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à certaines heures dans une bonne partie des palais. Dans les établissements
publics, tels que les hospices, les casernes, les séminaires, les
couvents, les collégescollèges, au lieu des vastes salles bien aérées, bien disposées
du moyen âge, on en a été réduit à prendre, à rez-de-chaussée ou
au-dessous du sol (toujours pour satisfaire aux règles de la belle architecture),