« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Créneau » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Crédence|Crédence]]</center>
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époque. Au XIII<sup>e</sup> siècle, les créneaux sont évidemment construits d'après
une formule donnée par l'expérience. Les merlons ont 2 mètres de haut
sur l1<sup>m</sup>,70 au moins, et 3<sup>m</sup>,30 au plus de largeur sur 0,45 c. d'épaisseur;
l'appui des créneaux est à 1 mètre du sol du chemin de ronde, et leur
largeur est de 0,70 c. Au milieu de chaque merlon est percée une
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l'appui du créneau; on voit en
B le profil inférieur, et en C le
boudin supériéursupérieur qui arrêtaient
les flèches et carreaux et les empêchaient
de pénétrer en ricochant
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la meurtrière est tourné de façon à permettre de tirer; en C, de façon à
masquer l'ouverture. Ces merlons, très-étroits d'ailleurs, sont munis de
profils pour empêcher les balles de ricocher. Il existe des emhrasuresembrasures de
ce genre dans les fortifications de Nuremberg antérieures à celles élevées
par Albert Dürer (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Embrasure|Embrasure]]). On voit aussi, sur les courtines