« Les Océanides » : différence entre les versions

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{{TitrePoeme|[[Auteur:Joseph Autran|Joseph Autran]]||'''Les Poèmes de la mer'''<br>Les Océanides}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/60]]==
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Enfant né sous nos yeux, enfant de nos rivages,
Que nous avons bercé dans nos souples roseaux ?
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==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/61]]==
<poem>
Fuis ces sommets, ingrats comme le cœur des hommes.
Point de doux entretiens là-haut, point de doux sommes.
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» Ce fut nous : notre foule à peine est avertie,
Elle
Elle prend son essor vers le mont de Scythie
</poem>
==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/62]]==
<poem>
Elle prend son essor vers le mont de Scythie
Qui du fils de Japet est l’implacable autel.
En vain du noir vautour il était la pâture ;
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Il menait après lui nos ondoyants essaims !
 
»
» Et quel beau jour encor dans nos riches annales,
</poem>
==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/63]]==
<poem>
» Et quel beau jour encor dans nos riches annales,
Quand, sous un vent d’avril, aux heures matinales,
L’écume de la mer soudain frémit sur nous,
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A folâtrer, tandis que nos sœurs les Sirènes
Attiraient à l’écueil par leurs voix souveraines
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==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/64]]==
<poem>
La barque désireuse et craignant d’approcher !
 
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L’Océan, ses vaisseaux, ses monstres, ses forêts.
Nous te révélerons par quel ressort occulte
</poem>
==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/65]]==
<poem>
La mer, à quelque dieu qu’elle rende son culte,
Tantôt baise ses bords et tantôt les insulte ;
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Et puis ses visions, ses hymnes, ses pensées,
Au sable de la rive étaient par lui tracées
</poem>
==[[Page:Autran - Les Poëmes de la mer, 1852.djvu/66]]==
<poem>
Avec un roseau frêle et tremblant dans sa main.
Poèmes de tristesse ou de joyeux délire !