« Page:Anonyme - Rondeaux et autres poésies du XVème.djvu/33 » : différence entre les versions

 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
ORANGE (Regné d’}.– Ce nom ne semble pas appartenir à un membre de la célèbre famille d’Orange, chez laquelle le prénom de René paraît pour la première fois en 1530<ref>Avec René (1518-1544), prince d’Orange en 1530 et comte de Nassau en 1538.</ref> ; il doit donc s’appliquer à un poète originaire
d’Orange, que nous ne connaissons pas d’ailleurs et qui partage avec FOULLÉE la paternité de la bergerette n° {{sc|lxxxv}} (p.74)<ref>Voy. p. 146, n° {{sc|clxxii}}.</ref> .


ORANGE (Règne d’}. – Ce nom ne semble pas appartenir
ORLEANS (Madame d’). – Marie de Clèves, troisième femme de Charles d’Orléans, qu’elle épousa en 1440, est célèbre par ses goûts artistiques : elle aimait les manuscrits,
à un membre de la célèbre famille d’Orange, chez
protégeait les peintres, Jean Fouquet entre autres<ref>L. Delisle, ''Le cabinet des manucrits'' t. I, p. 119-121.</ref> , et était poète comme son mari<ref>A. Champollion-Figeac, ''Louis et Charles ducs d’Orléans'' (1844),t.I, p.353.</ref>.
laquelle le prénom de René paraît pour la première fois
Le rondeau de notre recueil (n° {{sc|xlviii}}, p. 43) a déjà été publié<ref>''Poésies complètes de Charles d’Orléans'', éd. d’Héricault, t. II, p.164.</ref> , ainsi qu’une autre pièce<ref>''Ibid.'', p. 200.</ref> , qui constituent tout ce qui reste des poésies de cette princesse.
en i53o il doit donc s’appliquer à un poète originaire

d’Orange, que nous ne connaissons pas d’ailleurs et qui

partage avec FouLLËE la paternité de la bergerette
ORLEANS (Monseigneur d’). Les onze pièces dues à Charles d’Orléans (n<sup>os</sup> {{sc|x}}, {{sc|xxxvii}}, {{sc|xl}} à {{sc|xlii}}, {{sc|xliv-xlvii}}, {{sc|xlix}}, {{sc|li}}, {{sc|liii}}, p. 9, 34, 36 à 38, 40, 44, 46,
n° Lxxxv (p. ~).) s.
48), ont déjà été publiées<ref>''Ibid'', p. 133, 146, 149, 160, 161, 164, 166, 174, 174, 175 et 190.</ref> et n’apprennent rien de nouveau sur ce prince, qui ne fut « jamais qu’un enfant au gracieux babil, qui vécut sans comprendre, ce qu’il
ORLEANS (Madame d’). – Marie de Clèves, troisième

femme de Charles d’Orléans, qu’elle épousa en i~o, est

célèbre par ses goûts artistiques elle aimait les manus.crits,

protégeait les peintres, Jean Fouquet entre autres s,
et était poète comme son mari
Le rondeau de notre recueil (n° XLvm, p. 4.3) a dé)à
été publié 5, ainsi qu’une autre pièce S, qui constituent
tout ce qui reste des poésies de cette princesse.
ORLEANS (Monseigneur d’). Les onze piè:es dues à
Charles d’Orléans (n~ x, xxxvir, XL à xur, uv, xLVtxLvn,
XLIX, LI, Lm, p. 9, 3~ 36 à 38, ~o, 4. ~{., ~.6,
~.8), ont déjà été publiées et n’apprennent rkn de nouveau
sur ce prince, qui ne fut « jamais qu’un enfant au
« gracieux babil, qui vécut sans comprendre, ce qu’il
t. Avec René (t5t8-!5~),prince d’Orange en i53o et comte de
Nassau en i538.
z. Voy. p. 14.6, n° cmxu.
. L. Delisle, I.ee~Mit~~MMM’tMM)’ t. I, p. i:g-t2[.
A. ChampoItion-Figeac, Louis et Charles dues d’OrMt!
(.844),t.I.p.3b3.
. Poésies complètes de C/M~M d’Or/MH~, éd. d’Hê) ica.utt, t. II,
p.[64.
. Ibid., p. 200.
. ~M., p. <33, 146, i~f), :6o, t6t, 164, t66, ~4, ty4, ty5et
Igo.