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{{tiret 2|rite}} d’Écosse<ref>P. 72.</ref> , dont il déplore la mort dans une ballade attendrie<ref>P. 108.</ref> .
INTRODUCTION !X
Les poésies qu’il nous a laissées sont assez nombreuses ce sont d’abord 30 petites pièces, rondeaux et bergerettes, dont l’une est comprise dans les œuvres de Charles
rite d’Écosse 1, dont il déplore la mort dans une ballade
d’Orléans<ref>Éd. d’Héricault.t. II, p. 241.</ref> ; les autres appartiennent à notre manuscrit (n°s {{sc|i}} à {{sc|iii}}, {{sc|xxv}}, {{sc|xxix-xxx}},{{sc|xxxiii}}, {{sc|lvi-lvii}}, {{sc|lxi-lxii}},{{sc|lxix-lxx}}, {{sc|lxii}}, {{sc|lxxiv}}, {{sc|lxxvi à lxxxiv}}, {{sc|cv-cvi}}, {{sc|cix-cx}}, {{sc|cxiii}}, p. 1 à 3, 22, 26-27, 30, 50-51, 54.-55, 61-62, 64, 65, 67 à 73,91-92,94-95,97), puis deux ballades, l’une sur la mort de la Dauphine, à laquelle nous faisons allusion
attendrie s.
plus haut (n° {{sc|cxxvi}}, p. 108), l’autre sur la ''Loyauté des hommes'' (n° {{sc|cxxvii}} ; p. 109), qu’on considérait jusqu’ici comme anonyme<ref>Publiée par M. de Montaiglon, ''Rec. de poésies fr.'' t. I, p. 227-228.</ref> . Il faut aussi lui accorder la paternité d’un quatrain (n° {{sc|cxxiv}}, p. 106) adressé comme réponse à Antoine, avec lequel il était en correspondance, aussi bien qu’avec le fils du roi René, Jean de Lorraine<ref>P.54.</ref>.
Les poésies qu’il nous a laissées sont assez nombreuses
Blosseville a encore composé des pièces plus importantes : le ''Debat de la Damoiselle et de la bourgeoise'' ou ''l’Echiquier d’amour''<ref>Publié par M. de Montaiglon, ''Rec. de poésies fr.''’ t. V, p. 533. Voy. aussi t. IX, p. 216 et 220. Sur ce poème que M. G. Paris
ce sont d’abord 3o petites pièces, rondeau;: et bergerettes,
regarde comme le modèle qui a servi à Martial d’Auvergne pour ses ''Arrêts d’amour'', voy. le ''Journal des savants'', année 1888, p. 734-735. Notre confrère et ami, M. H. Omont nous signale un nouveau ms. de ce débat dans la bibliothèque de Sir Thomas Phillipps
dont L’une est comprise dans les œuvre; de Charles
(Cheltenham, n°1290).</ref> , et le ''Debat du viel et du''
d’Orléans 3; les autres appartiennent à notre manuscrit

(n°s [ à m, xxv, XXIX-XXX, XXXIII, LVi-Lvn, Lx:-Lxn,

LXIX.LXX, LXXII, LXXtV, LXXVI à LXXXIV, CV-CVI, CIX-CX,

cxtn, p. t à 3, 22, 26-27, 3o, 5o-5r, 5.J.-55, <![-62, 6~,

65, 67 à 73,91-02, 9~-Q5,g7), puis deux ballades, l’une
sur la mort de la Dauphine, à laquelle nous fa sons allusion
plus haut (n° cxxvr, p. 108), l’autre sur la Lo~Hfe
des hommes (no cxxvn; p. 109), qu’on considérait jus-
qu’ici comme anonyme 4. Il faut aussi lu. accorder
la paternité d’un quatrain (n° cxxiv, p. i<j6) adressé
comme réponse à Antoine, avec lequel il était en correspondance,
aussi bien qu’avec le fils du roi René, Jean
de Lorraine s.
Blosseville a encore composé des pièces plis importantes
le Debat de la Damoiselle et de la ~’OMrg’eoMC
ou l’Echiquier ~MOHr s, et le Debat du ~e~ et du
P. 72.
. P. tOS.
. Éd. d’Hëricautt.t. H, p. 24:.
. Publiée par M. de Montaigton, Rec. ~OM!’M/ t. I, p. 2272~8.
. P.5~.
G. Publié par M. de Montaiglon, Rec. t<g yoM;M/y’ t. V, p. 533.
Voy. aussi t. IX, p. 2t6 et 220. Sur ce poème que M. G. Paris
regarde comme le modete qui a servi à Martial d’Auvergne pour ses
~rre~ tï’~HtOM; voy. le JbKt’tM/ ~s~f~)!<ï, année t8S8, p. y3~735.
Notre confrère et ami, M. H. Omont nous signale un nouveau
ms. de ce dëb.tt dans la bibliothèque de Sir Thomas Phillipps
(Cheitenham, n°nc)o).