« Les Exilés (Banville)/À Auguste Brizeux » : différence entre les versions
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{{TitrePoeme|[[Les Exilés]]|Théodore de Banville|À Auguste Brizeux}}
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Poète, il est fini l'âpre temps des épreuves.
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Calme au sortir de la bataille,
Dors, Celte aux cheveux blonds, honneur de la Cornouaille.
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==[[Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/178]]==
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Je n'étais qu'un enfant joyeux
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Saluait le feu qui colore
Au lointain rougissant la merveilleuse aurore.
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==[[Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/179]]==
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Nous avons frappé le vautour
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Musset pâle et sanglant, qui s'éteint comme un cygne.
Ô
Ô cher et sage paresseux !▼
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==[[Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/180]]==
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Et tous deux pleins de jours ! Et voici qu'après eux
La tourmente emporte Brizeux !
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