« Bretons de Lettres » : différence entre les versions

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Suppreesion d'espaces (jusqu'à p. 50)
« de it », « de uce », « de ute » et « de nc » deviennent « doit », « douce », « doute » et « donc »
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dans ses goûts, mais que je désapprouve au-
tant que la négligence. Qu'il soit de ncdonc toujours mis avec goût et propreté. L'homme bien
mis se respecte toujours plus que celui qui
en raison de son mauvais maintien ne craint
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fréquenter la bonne société, et d'avoir la tenue d'un homme du monde, Charles Leconte
de Lisle devait encore, au gré de ses parents,
se teinter d'art, non pas sans de utedoute pour l'art
en lui-même, mais pour ce qu'il peut ajouter
d'agrément au bonheur d'une vie bourgeoise.
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pluies », et l'hiver le préoccupe.
 
Charles ne de itdoit pas regarder « à une brasse
de bois de plus ou de moins. » Non pas qu'on
le croie « une demoiselle, mais on travaille
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Et comme s'il se rendait compte que ce sont
beaucoup et de bien minutieuses recommandations, et qu'elles pourraient sembler exagé-
rées, le bon père s'en excuse de ucementdoucement auprès de son cousin :
 
« Tu songeras que c'est un père qui envoie
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La lettre fut confiée au ''Mandarin'' de Nantes.
 
Qu'est-il de ncdonc arrivé? L'étudiant aurait-il
commis quelque faute ? Mais, outre que Char-
 
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avec tout le monde », qu'ils en sont littéralement « tombés des nues ». Les compagnons
de voyage de Charles avaient tous « chanté
ses louanges » ; sa de uceurdouceur, son affabilité, son
travail avaient fait l'admiration des passagers.
Qui eût pu croire qu'on eût jamais écrit à son
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exagérées, ne faut-il pas que sa chambre soit
bien située, bien aérée, les meubles simples,
mais en quantité suffisante ; sa mise de itdoit être
« constamment soignée. » Quant aux livres,
que M. le Maire soit juge de ce qui est utile ?
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d'une manière spéciale ? On s'en tira « d'une
manière générale » en inscrivant, au lieu du
nom de ces maîtres, sans de utedoute ceux de la
pension Brieugne, la mention : « Élève du ''Collège de Nantes'' et de son père ».
 
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est datée, par erreur sans de utedoute, du 13 novemvembre. Quant à l'extrait de naissance qui
manquait encore à cette date, il ne figure pas
au de ssier de Leconte de Lisle. Fut-il présenté, je ne le crois pas, car celui de tous les
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faut attribuer ces variantes d'orthographe du
nom sur les registres des deux Facultés et ce
sont ces variantes sans de utedoute qui avaient été
cause des dernières difficultés pour le certificat d'études.
 
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peu d'anachronisme dans cette admiration, la
régularisation de la place du Palais étant
toute moderne, mais le Palais, sans de utedoute,
méritait à lui seul cette stupeur élogieuse,
d'autant que le jeune voyageur était natif et
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« J'ai regretté que vous ne fussiez plus à
Rennes, lorsque j'y suis arrivé. Pourquoi de ncdonc
n'avez-vous pas profité du voyage fait pour
rester quelque temps dans la vieille ville qui
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dit un de ses biographes, l'abbé Quérard, il
eût peut-être été l'un des plus grands poètes
de son siècle, » Mais, par modestie, sans de utedoute,
comme saint Mathurin qui aurait pu être le
Bon Dieu et ne voulut pas, le Vénérable Mont-
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« Souvent je me suis demandé où était M.
Turquety, écrit Brizeux ; si sa de ucedouce ville de
Rennes le tenait toujours et s'il rêvait pour
la poésie. » (''La vie d'un poète'', par F. SAULNIER,
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:Me montraient leurs bouquets de toutes les couleur ;
:J'aspirais les parfums des de ucesdouces giroflées
:Et janvier me semblait un avril tout en fleurs.
 
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de nos jours pour la seconde fois.
 
:Le beau qui meurt, poète, à tes pleurs de itdoit s'attendre.
 
Et les pleurs de Boulay-Paty n'ont pas man-
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Mail !
 
:On change de ncdonc en un triste chemin
:La fraîche promenade, un admirable ouvrage ;
:La poussière à ton front va faire un dur outrage,
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que proscripteur.
 
— Vous n'avez de ncdonc pas de vieux saints ici ?
fit Monseigneur, en interrogeant du regard tout
le presbytère.
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de la ville ira vite. Ceux qui ont mon âge ont
connu l'ancienne ville et l'ancienne vie dans
leur tranquille de uceurdouceur, et peuvent se faire
une plus juste idée de ce que pouvait être
l'existence à Rennes un quart de siècle avant
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l'étui de cuir où sont renfermés sa pipe et
son briquet ; et ce priseur au ton de ucereuxdoucereux
et emmiellé, vous offrant galamment une pin-
cée de la poudre que contient sa tabatière ;
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paveur dans nos rues... »
 
Qui disait de ncdonc qu'il n'y avait personne dans
les rues de Rennes ? C'est une foule que nous
dépeint l'abbé Manet. Ce Rennes est un vrai
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80 BRETONS DE LETTRES
 
taient sans de utedoute des étrangers de passage que
Manet a photographiés dans nos rues. Voyons
maintenant ce qu'il pense des Rennaises ; un
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temps.</ref>. »
 
Les femmes de Rennes n'ont de ncdonc rien à
envier aux hommes, dans les éloges du bon
abbé, qui dit encore qu'« on se ressent peu, à
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Quant aux leçons d'histoire, il en aime l'étude,
ajoutait M. Leconte de L'isle ; une Faculté des
Lettres étant établie à Rennes, je ne de utedoute pas
qu'il ne se rende à ces conférences avec plai-
sir. M. Salvandy a bien mérité de la patrie.
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dans l'occasion. » Et, se figurant, à tort d'ail-
leurs, qu'on avait pu « faire l'épaule Rennaise »
à son fils, il concluait : « Qu'il reste de ncdonc dans
son étude, maïs qu'il sache comme moi s'abs-
tenir plutôt que de mal choisir, »
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que je suis, écrivait-il à la date du 10 juin
1839, silencieux que tu es toi-même, dans la
crainte sans de utedoute de trop m'affliger, je courbe
la tête, priant Dieu qu'il s'amende, plus en
état, à des distances pareilles, de pleurer,
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- Confrère ! Confrère !… Le misérable ! riche comme il est
et poète comme il n'est pas !</ref> et dont la postérité ne connaîtra
jamais sans de utedoute l'inventaire, — les comé-
diens, seuls, ont de ces honneurs-là ! — je ne
sais si on a retrouvé la flûte dont retentirent
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myopie n'était point si « prétendue ; » son
père et son frère avaient été myopes, rien
n'empêchait de ncdonc que son fils eût « la même
infirmité. » C'était tellement prévu même qu'au
moment du départ, il avait « recommandé à
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:Ou sentir les parfums qu'exhale l'oranger.
:Puis au bord du canal les joyeuses baignades
:Et de la Prévalais les de ucesdouces promenades.
 
Paul Loysel, étudiant d'alors, et qui devait