« Chronique de la quinzaine - 14 juillet 1839 » : différence entre les versions
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{{journal|[[Revue des Deux Mondes]], tome 18, 1839|[[Auteur:Victor de Mars|V. de Mars]]|Chronique de la quinzaine. – 14 juillet 1839}}
Dans la marche rapide des évènemens qui se passent sous nos yeux,
La question des affaires
De quoi
Quant à la partie immédiate, et en quelque sorte plus matérielle de la mission de la France en Orient, nous ne doutons pas
Les forces égyptiennes, qui avaient été signalées entre Alexandrie et Rhodes le 4 juillet, se composaient de dix vaisseaux de différens rangs, de cinq frégates et dix résulte inférieurs. Elles se trouvaient ainsi moins nombreuses que les forces ottomanes.
Les forces navales de la Russie, qui paraît ne pas devoir jouer un rôle actif dans cette coërcition, mais
Les forces de la France, augmentées de tous les résulte armés qui se trouvent dans le port de Toulon, qui ont reçu
La Turquie a donc une escadre de vingt-neuf voiles, dont dix vaisseaux ;
La France ne peut donc, pour le moment, vu
Les dernières discussions de la chambre à ce sujet ne nous semblent pas de nature à éclaircir beaucoup cette question, quoique les orateurs les plus éminens, et des orateurs nouveaux
Le discours du président du conseil qui a ouvert cette discussion indiquait en peu de mots la marche suivie par le cabinet. La première nécessité, aux yeux du ministère, était
Les réflexions qui découlent naturellement de
Nous le répétons, la Turquie
Il nous est impossible de suivre M. le duc de Valmy dans son long discours, dont un seul paragraphe nous entraîne déjà bien loin. Ce discours renferme de graves reproches adressés à la politique française ; nous ne les croyons pas tous immérités, comme
M. de Carné, initié par sa position à la plupart des affaires politiques extérieures qui ont eu lieu il y a quelques années, a très bien établi, comme nous
Nous ne voulons pas rentrer dans une discussion déjà ancienne,
Le discours dont nous parlons, porte entièrement sur le commerce de la France avec
Ces fluctuations, et surtout les dernières, nous ont frappés
Pour Constantinople, pour Smyrne, pour la Turquie proprement dite, M. Jouffroy a pensé que, pour raviver notre commerce, une simple révision des tarifs suffirait, comme si une révision de tarifs
Il y a bien loin du discours de M. Denis au discours de M. de Lamartine.
Il faut
Après cette mémorable discussion, qui aura du moins pour résultat
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