« Les J’ai vu de la promenade de Longchamp » : différence entre les versions
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<div class="text">{{TitrePoeme|[[Auteur:Charles-Hubert Millevoye|Charles-Hubert Millevoye]]||Les
==__MATCH__:[[Page:Millevoye - Œuvres complètes de Millevoye, I, 1837, éd. Pongerville.djvu/172]]==
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Fête des grâces, des amours,
Que trois mois
Et dont on
Rassemblant tous ses traits vainqueurs,
Doubler le pouvoir de ses charmes
Pour venir assiéger les coeurs.
Et,
Ces dames mettant tant de zèle
À retracer
Quittant
Reprendre la simple parure
De la mère du genre humain.
Se livrant à des goûts nouveaux,
Oser, amazones nouvelles,
Caracoler sur des chevaux...
Comme tomber
Belles, prenez garde aux faux pas :
Vous
Et Boufflers a su vous apprendre
Ce
Des parvenus en chars brillants :
Ces messieurs se tiennent dedans
De
Qui faisait
Et demain vendra le cheval
Afin de payer la voiture.
Du temple où jadis ce jour-là
Les nonnettes chantaient ténèbres
Avec les filles
Revenir, au déclin du jour,
Par la longue et sombre avenue
De ce bois planté par
Où, dit-on, à
Le fripon joua plus
Bois charmant où le doux mystère
Établit avec lui sa cour.
Dans leurs yeux portant le bonheur ;
Je les ai vus
Et me suis dit au fond du
Ah ! dans ce bois, aimable Laure,
Que ne puis-je avec toi rêver !
Je ne voudrais
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