« Esquisse d’une psychologie comparée de l’homme » : différence entre les versions

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{{Journal|Esquisse d’une psychologie comparée de l’homme|[[Auteur:Herbert Spencer|Herbert Spencer]]|Lecture faite à l’Institut anthropologique de la Grande-Bretagne<br />[[Revue philosophique de la France et de l’étranger|Revue philosophique]], I, 1876}}
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Est-il bien nécessaire de démontrer qu’un coup d’œil général sur une question est un préliminaire utile à l’étude approfondie de la totalité ou d’une partie de cette question ? La pensée se perd dans le vague, si on la laisse errer à l’aventure sans avoir posé des bornes et des limites bien définies. D’autre part, si l’on se borne à étudier une partie d’une question, sans savoir comment elle se relie au tout, on s’expose à bien des erreurs. On ne peut, en effet, se faire une idée nette de l’ensemble d’une question sans en connaître plus ou moins les parties ; on ne peut se faire une idée nette d’une partie sans savoir quels sont ses rapports avec l’ensemble.
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Herbert Spencer.
 
[[Catégorie:Psychologie]]
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