« Page:Anatole France - Le Jardin d’Épicure.djvu/182 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Marc: split
(Aucune différence)

Version du 23 septembre 2010 à 21:29

Cette page n’a pas encore été corrigée

de goûter les fruits de son travail, se réveillait sans cesse aux cris de mort, aux lueurs de l’incendie, quand la vie était un cauchemar, les plus douces âmes s’en allaient rêver du ciel dans des maisons qui s’élevaient comme de grands navires au-dessus des flots de la haine et du mal. Ces temps ne sont plus. Le monde est devenu à peu près supportable. On y reste plus volontiers. Mais ceux qui le trouvent encore trop rude et trop peu sûr sont libres, après tout, de s’en retirer. L’Assemblée constituante avait eu tort de le contester, et nous avons eu raison de l’admettre en principe.

J’ai l’honneur de connaître la supérieure d’une communauté dont la maison-