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qui n’est pas simple lui est impie ; elle aime aussi à jouer avec le feu — des bûchers. |
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Et garde-toi des accès de ton amour! Trop vite le solitaire tend la main à celui |
Et garde-toi des accès de ton amour ! Trop vite le solitaire tend la main à celui qu’il rencontre. |
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Il y a des hommes à qui tu ne dois pas donner la main, mais seulement la patte: et je veux que ta patte ait aussi des griffes. |
Il y a des hommes à qui tu ne dois pas donner la main, mais seulement la patte : et je veux que ta patte ait aussi des griffes. |
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Mais le plus dangereux ennemis que tu puisses rencontrer sera toujours toi-même; |
Mais le plus dangereux ennemis que tu puisses rencontrer sera toujours toi-même ; c’est toi-même que tu guettes dans les cavernes et les forêts. |
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Solitaire, tu suis le chemin qui mène à toi-même! Et ton chemin passe devant toi-même et devant tes sept démons? |
Solitaire, tu suis le chemin qui mène à toi-même ! Et ton chemin passe devant toi-même et devant tes sept démons ? |
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Tu seras hérétique envers toi-même, sorcier et devin, fou et incrédule, impie et méchant. |
Tu seras hérétique envers toi-même, sorcier et devin, fou et incrédule, impie et méchant. |
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Il faut que tu veuilles te brûler dans ta propre flamme: comment voudrais-tu te renouveler sans |
Il faut que tu veuilles te brûler dans ta propre flamme : comment voudrais-tu te renouveler sans t’être d’abord réduit en cendres ! |
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Solitaire, tu suis le chemin du créateur: tu veux te créer un dieu de tes sept démons! |
Solitaire, tu suis le chemin du créateur : tu veux te créer un dieu de tes sept démons ! |
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Solitaire, tu suis le chemin de |
Solitaire, tu suis le chemin de l’amant : tu t’aimes toi-même, c’est pourquoi tu te méprises, comme seuls méprisent les amants. |
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L’amant veut créer puisqu’il méprise ! Comment saurait-il parler de l’amour, celui qui ne devait pas mépriser précisément ce qu’il aimait ! |
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Va dans ta solitude, mon frère, avec ton amour et ta création; et sur le tard la justice te suivra en traînant la jambe. |
Va dans ta solitude, mon frère, avec ton amour et ta création ; et sur le tard la justice te suivra en traînant la jambe. |
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Va dans ta solitude avec mes larmes, ô mon |
Va dans ta solitude avec mes larmes, ô mon |