« Il Pianto - Poèmes » : différence entre les versions

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{{journal|Poèmes, Il Pianto|[[Auteur:Auguste Barbier|Auguste Barbier]]|[[Revue des Deux Mondes]]T.1, 1833}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/121]]==
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/121]]==
 
<div style="text-align:center;">IL PIANTO, poème</div>
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Vu flotter doucement les belles rêveries ;
J’aurais souvent foulé des pelouses fleuries ;
Et
Et le divin caprice, en de folles chansons,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/122]]==
<poem>
le divin caprice, en de folles chansons,
Aurait du moins charmé le cours de mes saisons. -
Mais j’entends de mon cœur la voix mâle et profonde,
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Je vais mettre mon doigt sur toutes les blessures.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/123]]==
 
 
Ligne 53 ⟶ 59 :
Tu n’es plus maintenant qu’une terre profane,
Un sol où toute fleur dépérit et se fane,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/124]]==
<poem>
Un terrain sans verdure et délaissé des cieux,
Un cimetière aride, un cloître curieux,
Ligne 82 ⟶ 91 :
Des rossignols bruyans, des geais aux ailes bleues,
Des paons sur les gazons traînant leurs belles queues ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/125]]==
<poem>
Des merles, des serins jaunes comme de l’or,
Chantent l’amour, et l’air plus enivrant encor.
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Elle jette à tous vents les plaintes et les voix
De ces corps vermoulus comme d’antiques bois :
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/126]]==
<poem>
La vieille aime à lutter ; c’est un joueur en veine
Qui néglige les coups dont la chance est certaine.
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Voyez leur cou fumant dont la veine se tord,
Leur frayeur vous dira qu’ils ont senti la mort,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/127]]==
<poem>
Et que ce noir terrain a reçu de nature
Le don de convertir les corps en pourriture.
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Arrose incessamment d’amertume et de fiel
Le peu de jours encor que leur garde le ciel ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/128]]==
<poem>
Tandis que sur leurs fronts comme sur leurs rivages,
Habitent les brouillards et de sombres nuages,
Ligne 202 ⟶ 223 :
Il a, sans la chercher, la parfaite beauté,
Et les trésors divins de la sérénité.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/129]]==
<poem>
Puis il voit devant lui sa vie immense et pleine,
Comme un pieux soupir, s’écouler d’une haleine ;
Ligne 232 ⟶ 256 :
Dors, oh ! dors, Orcagna, dans ta couche de pierre,
Et ne r’ouvre jamais ta pesante paupière,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/130]]==
<poem>
Reste les bras croisés dans ton linceul étroit ;
Car si des flancs obscurs de ton sépulcre froid,
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Oh ! c’est en vain qu’aux pieds de l’immobile archange
Le canon tonne encor des créneaux de Saint-Ange,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/131]]==
<poem>
Que saint Pierre au soleil, sur ses degrés luisans,
Voit remonter encor la pompe des vieux ans.
Ligne 293 ⟶ 323 :
La foi ne pousse plus de sublimes colonnes,
Plus de dômes d’airain, plus de triples couronnes,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/132]]==
<poem>
Plus de parvis immense, à faire mille pas,
Plus de large croix grecque étalant ses longs bras,
Ligne 325 ⟶ 358 :
 
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/133]]==
<poem>
Ah ! s’il est ici-bas un aspect douloureux,
Ligne 349 ⟶ 385 :
 
 
MICHEL-ANGE
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/134]]==
ANGE
 
<poem>
Ligne 379 ⟶ 417 :
 
<poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/135]]==
Si dans mon cœur chrétien l’antique foi s’altère ?
L’art reste encor debout, comme un marbre pieux
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Je vois les bienheureux dans leurs vêtemens blancs,
Chanter sur des luths d’or les divines louanges.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/136]]==
poem>
 
 
LE
LE CAMPO VACCINO
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/137]]==
CAMPO VACCINO
 
<poem>
Ligne 413 ⟶ 456 :
L’heure aux grands horizons, l’heure où l’ombre est mortelle
Au voyageur suant qui s’arrête sous elle,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/138]]==
<poem>
Rien ne m’allait au cœur comme ces murs pendans,
Ces terrains sillonnés de mâles accidens,
Ligne 443 ⟶ 489 :
Et rien ne parlait haut comme le grand silence
Qui dominait alors cette ruine immense ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/139]]==
<poem>
L’ombre flottante enfin des jardins de Néron,
Le seul dont le bas peuple ait conservé le nom.
Ligne 473 ⟶ 522 :
Mener un chœur de danse et se donner la main,
Sont les restes flétris d’un beau temple romain,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/140]]==
<poem>
La divine Concorde, et puis une lointaine
Qui lève dans les cieux sa taille souveraine,
Ligne 503 ⟶ 555 :
Grand Titus, tu n’as plus que la rouille sublime
Dont les siècles toujours décorent leur victime,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/141]]==
<poem>
Des membres demi-nus, penchés de toutes parts,
Et les flancs tout ridés comme ceux des vieillards.
Ligne 533 ⟶ 588 :
Maintenant tout est fait : ruines séculaires,
Leurs murs ne peuvent plus tenter les mains vulgaires,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/142]]==
<poem>
Pas une lame d’or à leurs flancs vermoulus ;
De toute leur splendeur il ne leur reste plus
Ligne 563 ⟶ 621 :
La terre peut trembler sous les plus hauts destins,
Des fronts peuvent jaillir les chants les plus divins,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/143]]==
<poem>
Aux cieux peuvent briller les plus illustres gloires ;
Tout ici, jusqu’au nom, s’efface des mémoires,
Ligne 593 ⟶ 654 :
La forme. - Elle était pure et belle au premier jour,
Si pure que le maître avec un œil d’amour
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/144]]==
<poem>
Contemplant de son haut l’univers plein de grâce,
Et comme en un miroir y reflétant sa face,
Ligne 623 ⟶ 687 :
Vous qu’une forme absente accable de douleurs
Et le jour et la nuit fait sécher dans les pleurs,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/145]]==
<poem>
Vous, poètes surtout, chanteurs au front austère,
O pontifes de l’art, ô peintres qui, sur terre,
Ligne 653 ⟶ 720 :
Et dans les cœurs amis de la forme et des dieux,
Imprimé pour toujours un sillon glorieux.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/146]]==
<poem>
Hélas ! long-temps du fond de ton sol, froid et sombre,
Sur l’univers entier se pencha ta grande ombre,
Ligne 683 ⟶ 753 :
C’est un champ plein de deuil, où la froide débauche
Vient parmi les roseaux que jamais l’on ne fauche
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/147]]==
<poem>
Hurler des chants hideux et cacher ses ébats :
C’est un sol sans chemin, où l’on tombe à tout pas,
Ligne 713 ⟶ 786 :
Puis des femmes en rouge et de brune figure
Descendent en filant, les degrés de verdure ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/148]]==
<poem>
Les gueux, déguenillés qui dormaient tous en tas,
Se lèvent lentement pour prendre leur repas ;
Ligne 729 ⟶ 805 :
 
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/149]]==
<poem>
Salut, ô Raphaël ! salut, ô frais génie !
Ligne 757 ⟶ 836 :
 
<poem>
O
O mère d’Allegri ! Parme, cité chrétienne,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/150]]==
<poem>
mère d’Allegri ! Parme, cité chrétienne,
Sois fière du héros que tes flancs ont porté ;
J’ai vu d’un œil d’amour la belle antiquité,
Ligne 784 ⟶ 867 :
 
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/151]]==
<poem>
Chantre mélodieux né sous le plus beau ciel,
Ligne 805 ⟶ 891 :
Elle ne faillit point devant la tyrannie,
Et chanta dans les fers l’hymne de liberté,
</
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/152]]==
<poem>
poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/153]]==
<poem>
 
 
Ligne 829 ⟶ 922 :
Tous les enchantemens de la riche nature,
L’air qui plante la joie en toute créature,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/154]]==
<poem>
Ce beau ciel pur et chaud qu’on aime tant à voir,
Les pâleurs du matin et les rougeurs du soir,
Ligne 861 ⟶ 957 :
Et, levant par le coin un rouge tablier,
Danser la tarentelle à l’ombre du hallier ?
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/155]]==
<poem>
Qui peut, ami, qui peut s’enivrer de musique,
Et des beaux jeux fleuris de notre terre antique,
Ligne 893 ⟶ 992 :
Mais nous, mais nous, hélas ! habitans de la terre,
Il faut savoir souffrir, mendier et nous taire ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/156]]==
<poem>
Il faut de notre sang engraisser les abus,
Des fripons et des sots supporter les rebuts ;
Ligne 925 ⟶ 1 027 :
Qui n’avons ici-bas que la peine et le mal,
Nous n’irons pas toujours mourir à l’hôpital ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/157]]==
<poem>
Nos crocs ne seront plus chargés d’étoupes molles,
Viendront les pensers forts et les mâles paroles.
Ligne 956 ⟶ 1 061 :
Il a le cœur au ventre, et le ventre à la tête.
Manger, boire, dormir, voilà toute sa fête,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/158]]==
<poem>
Et le dos prosterné sur ses larges pavés ;
Il n’a les bras tendus et les regards levés
Ligne 988 ⟶ 1 096 :
Aussi, malheur, malheur à qui pèse sur lui !
</poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/159]]==
<poem>
 
SALVATOR
Ligne 1 017 ⟶ 1 128 :
J’irai chercher ailleurs quelque chose d’humain
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/160]]==
 
LE PÉCHEUR.
Ligne 1 049 ⟶ 1 161 :
Frère, tu parles bien, mais notre sol superbe
Corrompt le pur froment et ne fait que de l’herbe,
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/161]]==
Ce qu’on sème dessus perd bientôt sa valeur :
Aussi je n’y crois pas, et je m’en vais, pêcheur !
Ligne 1 081 ⟶ 1 194 :
DOMINIQUIN
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/162]]==
<poem>
Noble fille des cieux, divine solitude !
Ligne 1 107 ⟶ 1 223 :
GIORGIONE,
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/163]]==
<poem>
Qu’est-ce donc, ô mon Dieu ! que de la gloire humaine,
Ligne 1 133 ⟶ 1 252 :
TITIEN
 
<poem>
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/164]]==
<poem>
Quand l’art italien, comme un fleuve autrefois,
Ligne 1 155 ⟶ 1 277 :
Et ne l’abandonnait qu’aux portes du tombeau.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/165]]==
 
 
Ligne 1 174 ⟶ 1 297 :
A la fenêtre en face, un enfant de Florence
Chez un vieil argentier logeait par occurrence ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/166]]==
<poem>
De sa plume il gagnait son pain de tous les soirs ;
Mais cet enfant divin, sous ses longs cheveux noirs,
Ligne 1 204 ⟶ 1 330 :
Mais l’aube était debout, et réveillant la brise,
Ses pieds frais rougissaient les grands toits de Venise
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/167]]==
<poem>
Le vent remuait l’onde, et la vague des mers
Luisait dans les canaux en mille carreaux verts ;
Ligne 1 234 ⟶ 1 363 :
Une fille vermeille, assise et reposée,
Sans porter les regards vers une autre croisée,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/168]]==
<poem>
Et chercher vaguement, à travers le lointain,
Si l’on n’aperçoit pas ton jeune Florentin.
Ligne 1 264 ⟶ 1 396 :
Ou bien vers la Brenta, sur de fraîches prairies,
On allait deux à deux faire ses rêveries,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/169]]==
<poem>
Et sur l’herbe écouter l’oiseau chanter des vers,
En l’honneur des zéphirs qui chassaient les hivers.
Ligne 1 294 ⟶ 1 429 :
Partout le bras s’allonge et demande l’aumône,
La fièvre à tous les fronts étend sa couleur jaune ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/170]]==
<poem>
Puis, partout le silence, et l’onde vainement
Bat, dans le port, le dos de quelque bâtiment.
Ligne 1 324 ⟶ 1 462 :
C’en est fait de Venise, elle manque de voix :
L’homme et les élémens l’accablent à la fois ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/171]]==
<poem>
Comme un taureau qui court à travers les campagnes,
Le fougueux Eridan, descendu des montagnes,
Ligne 1 354 ⟶ 1 495 :
Épancher à loisir tous ses tristes ennuis,
Par la douceur de l’air, et la beauté des nuits,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/172]]==
<poem>
S’abandonne sans peine à la musique folle,
Et la rame à la main, doucement se console
Ligne 1 384 ⟶ 1 528 :
Pour consoler la terre, et dans vos saints reflets,
Lui montrer la splendeur des célestes palais !
O
O poésie ! amour, perles de la nature,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/173]]==
<poem>
poésie ! amour, perles de la nature,
Des beautés de ce monde, essence la plus pure ;
Célestes diamans et joyaux radieux,
Ligne 1 414 ⟶ 1 562 :
Regagnez noblement votre ciel solitaire,
Et sans regret aucun de cette vile terre
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/174]]==
<poem>
Partez ; car ici-bas, vous laissez après vous
Un terrible fléau qui vous vengera tous.
Ligne 1 437 ⟶ 1 588 :
 
<poem>
Divine
Divine Juliette au cercueil étendue,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/175]]==
<poem>
Juliette au cercueil étendue,
Toi qui n’es qu’endormie et que l’on croit perdue,
Italie, ô beauté ! si malgré ta pâleur,
Ligne 1 451 ⟶ 1 606 :
Et ton corps ranimé par la chaude lumière,
Se dressera tout droit sur la funèbre pierre.
Alors, ê
Alors, être plaintif, ne pouvant marcher seul,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/176]]==
<poem>
tre plaintif, ne pouvant marcher seul,
Et tout embarrassé des longs plis du linceul,
Tu chercheras dans l’ombre une épaule adorée,