« Poètes et romanciers modernes de la Grande-Bretagne/02 » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m Typographie |
m match |
||
Ligne 1 :
{{journal|Poètes et romanciers modernes de la Grande-Bretagne – Charles-Robert Maturin|[[Auteur:Thomas Roscoe|Thomas Roscoe]]|[[Revue des Deux Mondes]]T.1, 1833}}
==__MATCH__:[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 1.djvu/41]]==
<div style="text-align:center;">Poètes et romanciers de la Grande-Bretagne</div>
<div style="text-align:center;">[[Auteur:Charles Robert Maturin|Charles-Robert Maturin]]<ref>Voyez la livraison du 1er juin 1832 de la 1re série.</ref></div>
Ligne 114 :
Il est donc vrai que la douleur éveille la pensée, mais que l’indigence arrête l’essor de la fantaisie ? Tandis que les oisifs des trois royaumes voyagent, comme leurs malles, dans les capitales du continent, rapportent au retour quelques phrases françaises ou italiennes pour donner à leurs billets du matin un ton de bonne compagnie, n’était-il pas juste que Maturin pût admirer dans sa vie autre chose que Saint-Patrick et Westminster, qu’il récréât ses yeux du palais ducal des doges ou de la coupole de Sainte-Sophie ?
THOMAS ROSCOE.
|