« La Main gauche (Ollendorff, 1899)/La Morte » : différence entre les versions
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{{indentation}}Hier, je suis rentré à Paris.
Quand je revis ma chambre, notre chambre, notre lit, nos meubles, toute cette maison où était resté tout ce qui reste de la vie d'un être après sa mort, je fus saisi par un retour de chagrin si violent que
Et je m'arrêtai net en face de ce miroir qui l'avait souvent reflétée. Si souvent, si souvent, qu'il avait dû garder aussi son image.
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