« Deux et deux font cinq/Dressage » : différence entre les versions

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{{ChapitreNav|[[Auteur:Alphonse Allais|Alphonse Allais]]|[[Deux et deux font cinq]]||[[Ohé ! Ohé !]]|Dressage|[[Le Clou de l’exposition de 1900]]}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Allais_-_Deux_et_deux_font_cinq_(2%2B2%3D5).djvu/120]]==
 
Dimanche dernier, aux courses d’Auteuil, je fis la rencontre du Captain Cap et je
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— Qu’est-ce qu’il faut servir à ces messieurs ? demanda la gracieuse petite
patronne.
==[[Page:Allais_-_Deux_et_deux_font_cinq_(2%2B2%3D5).djvu/121]]==
 
— Ah ! voilà, fit Cap. Que pourrait-on bien boire ?
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— Allons donc !
==[[Page:Allais_-_Deux_et_deux_font_cinq_(2%2B2%3D5).djvu/122]]==
 
— Parole d’honneur ! Moi qui vous parle (et le Captain Cap vous dira si je
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— Mille fois ! J’ai vus en Californie un bonhomme qui avait dressé des oiseaux
à se poser sur des fils télégraphiques selon la note qu’ils représentaient.
==[[Page:Allais_-_Deux_et_deux_font_cinq_(2%2B2%3D5).djvu/123]]==
 
— Quelques explications supplémentaires ne seraient pas inutiles.
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l’art de fabriquer des trombones à coulisse avec des brins d’osier ?
 
— Je n’ai fait que traverser la Californie sans avoir le loisir de m’attarder au
==[[Page:Allais_-_Deux_et_deux_font_cinq_(2%2B2%3D5).djvu/124]]==
avoir le loisir de m’attarder au
moindre détail ethnographique.