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l’Ibérie est si froid que l’âne n’y peut naître<ref>« {{lang|grc|Ἔτι δὲ ψυχρὸν τὸ ζῷον ὁ ὄνος ἐστίν · διόπερ ἐν τοῖς χειμερινοῖς οὐ θέλει γίγνεσθαι τόποις... οἷον... περὶ Κελτοὺς τοὺς ὑπὲρ τῆς Ἰβηρίας · ψυχρὰ γὰρ καὶ αὕτη ἡ χώρα.}} » (''{{lang|la|De animalium generatione}}'', liv. II, chap. {{sc|viii}}, édit. Didot, t. III, p. 369).</ref>. Si |
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l’Ibérie est si froid que l’âne n’y peut naître<ref></ref>. Si |
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nous en croyons Plutarque, Aristote a su que les |
nous en croyons Plutarque, Aristote a su que les |
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Celtes avaient pris Rome<ref></ref>. Le périple attribué à |
Celtes avaient pris Rome<ref></ref>. Le périple attribué à |
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Suivant Pausanias, écrivain du second siècle de notre |
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ère, {{lang|grc|Κελτός}} est le nom que les Celtes se donnaient à |
ère, {{lang|grc|Κελτός}} est le nom que les Celtes se donnaient à |
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(''{{lang|la|De animalium generatione}}'', liv. II, chap. {{sc|viii}}, édit. Didot, t. III, p. 369). |
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(Plutarque, ''Camille'', chap. {{sc|xxii}}, édit. Didot, p. 167). |
(Plutarque, ''Camille'', chap. {{sc|xxii}}, édit. Didot, p. 167). |