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dans tous les pays, et les lois de la vie et de l’esprit qui dépendent de son acceptation, de son refus et de sa distribution.

dans loas les pays, et les lois de la vie et de l'esprit qui dépendent de son acceptation, de son refus et de sadîsf.ribution.
tude le sens des expressions qu'il emploie- Cependcint cette luêuie idîa. Étant de Buskin, devait se retrouver dans Buskin. Nous ne pensons pas une idée une seule fois. Sous aimons une Idiie pemiant un certain temps, nous lui revenons quelquefois, fot-ce pour l'abandonner à toyt Jamais ensuite. Si vous aTez rencoD'"' ivec une personne i'homme le plus changeant Je ne dis nifme pss dans ses amitiés, mais dans ses relations, nul doute que pendant l'année qai suit cette rencontre si vous étiez le concierge de cet homme vous verriez entrsr chez lui l'ami ou une lettre de l'ami que vous avez rencontré ou si voua étiez sa mémoire vous verriez passer l'image de son ami éphé-mCre. Aosd faut-it faire avec un esprit, si l'on veut revoir une de ses idées, ne fùt-elle pour lui qu'une idée passagère et un tstnps seulement préférée, comme font les péotteurj! placer un filet attentif, d'un endroit k un autre (d'une époque à une aulre) (ie sa production, fùt-elle incessamment renouveléB. Si le filet a des mailles asseï serrées et assez fines, il serait bien surpreuKnt que vous n'arrêtiez pas au passage une de ces ieiies créatures que nous appelons Idées, qui se plaisent daa? les eaux d'une pensée, y naissant par une génération qui semble en ^vclque socte spontanée et où ceux qui aiment à se promener ou bord des esprits sont bien, certains de les apercevoir un jour, s'ils ont seulement un peu de patience et un peu d'amour. En lisant l'autre Jour dans Verona and other leoiures, le ,cha7 pîtro iatituSo ! « The slory of Aracîmé », arrivé à un passée (gg 35 et 26) sur la cuisine, science capitale, et fondement Un bonheur des états, je fus frappé par la plirnse qui le termine. «Vous ries en m'entendant parler ainsi et Je sais content que vous riiez à condition que vous compreniez seulemeal qne moi Je ne ris pas, et de quelle façon réfléobie, entière et grare, Je vous déclare que je crois nécessaires à la i..'Ospéritâ de cette nationef de toute autre : premièrement une soigneuse purification et une affectueuse dislribulion do la noUrriture, de façon que vous puissiez, non pas seulement le dimanche, mais après le labeur quotidien, qui. s'il est bien compris, est ua perpétuel sec-vice di-ïin de chaquejour — de façon, dis-je, & ce que vous puissiez manger des viandes grasses et boire des liqueurs douces, et envpyer des portions 6 ceux pour qui rien n'est préparé. », (Cette dernière piirase est de Néhéiulo, vm, iH.) Je trouverai peut-Cire quelque Jour un commentaire précis des mots « aocoptance » et