« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Peinture » : différence entre les versions
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comme le dais <i>c</i>, par exemple, ne prétendent pas simuler une ornementation
en relief. Cette architecture peinte est toute de convention; c'est
un hiéroglyphe. On ne songeait pas alors, pas plus que pendant la bonne
antiquité, à faire des trompe-l'œil. Cette façon d'interpréter en peinture
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de Meaux, par exemple, on a eu l'idée de distinguer les claveaux des
arcs ogives ou des arcs-doubleaux au moyen de deux tons différents.
Ce sont là des exceptions. À l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8,
de coloration des imageries et des statues, car les artistes du moyen âge
ont le plus souvent admis, comme les Grecs de l'antiquité, que la statuaire devait être colorée. Quant à la sculpture d'ornement des intérieurs,
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