« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Porte » : différence entre les versions

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==== PORTES FORTIFIÉES <i>tenant aux enceintes de villes, châteaux, manoirs</i>. ====
Il existe encore en France quelques portes romaines et gallo-romaines qui présentent les caractères d'une issue percée dans une enceinte et protégée par des défenses. Telles sont les portes de Nîmes,
Il
existe encore en France quelques portes romaines et gallo-romaines qui présentent les caractères d'une issue percée dans une enceinte
et protégée par des défenses. Telles sont les portes de Nîmes,
d'Arles, de Langres, d'Autun: les premières antérieures à l'établissement
du christianisme; celles d'Autun datant du IV<sup>e</sup> ou V<sup>e</sup> siècle. Ces portes sont
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Quand le sol gallo-romain fut envahi par les hordes venues du
nord-est, beaucoup de villes ouvertes furent fortifiées à la hâte. On détruisit
nord-est,
beaucoup de villes ouvertes furent fortifiées à la hâte. On détruisit
les grands monuments, les temples, les arènes, les théâtres, pour faire
des remparts percés de portes flanquées de tours. On voit encore à
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XII<sup>e</sup> siècle. Les restes des portes d'enceintes de villes ou de châteaux
antérieures à cette époque, toujours modifiées postérieurement,
indiquent cependant déjà des dispositions défensives bien entendues. Ces
indiquent
cependant déjà des dispositions défensives bien entendues. Ces
portes consistent alors en des ouvertures cintrées permettant exactement
à un char de passer: c'est dire qu'elles ont à peine 3 mètres
d'ouverture sur 3 à 4 mètres de hauteur sous clef. Il n'était plus alors question,
d'ouverture
sur 3 à 4 mètres de hauteur sous clef. Il n'était plus alors question,
comme dans les cités élevées pendant l'époque gallo-romaine,
d'ouvrir de larges ouvertures au commerce, aux allants et venants, mais
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Nous ne trouvons pas d'exemple complet de portes de villes ou
châteaux
avant le commencement du XII<sup>e</sup> siècle. Un de ces exemples, parvenu jusqu'à nous sans altération aucune, se voit au château de Carcassonne, et il remonte à 1120 environ. Nous donnons (fig. 3) le plan de
et il remonte à 1120 environ. Nous donnons (fig. 3) le plan de
cette porte à rez-de-chaussée. On arrive à l'entrée par un pont défendu
lui-même par une large barbacane bâtie au XIII<sup>e</sup> siècle<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]]. Le tablier de
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tour de gauche avait son entrée en G, sous le passage. Un second poste H,
placé dans la tour de droite, avait son entrée sous un portique
donnant sur la cour intérieure du château. En K, est un très-large fossé. Des
donnant
sur la cour intérieure du château. En K, est un très-large fossé. Des
meurtrières disposées dans les deux salles F et H commandent l'entrée
et les dehors. On ne pouvait monter aux étages supérieurs de cette
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à être bien défendue, puisque cette langue de terre est le seul point par
lequel on pouvait tenter d'attaquer les remparts, dominant, sur tout le
reste de leur périmètre, des escarpements considérables. Au commencement
commencement
du XIII<sup>e</sup> siècle, voici quel était le système défensif des abords de
cette porte (fig. 7).
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le viaduc ne servit plus que de pont passant sur un fossé, pour atteindre,
du plateau, le niveau de la plate-forme du boulevard<span id="note10"></span>[[#footnote10|<sup>10</sup>]]. Les
espaces K formaient fossé séparant le plateau de la ville et déclinant à
espaces
K formaient fossé séparant le plateau de la ville et déclinant à
droite et à gauche vers les escarpements naturels. Les galeries
inférieures du boulevard, indiquées sur le plan, étaient percées de nombreuses meurtrières couvrant le fond de ce fossé de feux croisés. Cet aperçu de l'ensemble des défenses de la porte de Laon à Coucy fait assez
inférieures
du boulevard, indiquées sur le plan, étaient percées de nombreuses meurtrières couvrant le fond de ce fossé de feux croisés. Cet
aperçu de l'ensemble des défenses de la porte de Laon à Coucy fait assez
connaître l'importance de ce poste militaire, et comme il était puissamment
défendu. Examinons maintenant la porte en elle-même, assez bien
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malgré la garnison. Alors la porte est toujours un poste isolé, commandé
par un chef sûr, et pouvant encore résister en cas de trahison ou d'escalade
du rempart. Nous faisons ressortir, à l'article ARCHITECTURE[[Dictionnaire MILITAIREraisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]],
l'importance de ces postes isolés dans le système défensif du moyen âge,
et il ne paraît pas nécessaire de revenir ici sur ce sujet.
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par cette voie. Le château de Pierrefonds possédait aussi sa poterne de
ravitaillement. Nous avons indiqué sa position dans le plan de ce château
(voy. CHÂTEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 24, et DONJON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 41 et 44). Le château de Pierrefonds
pouvait facilement contenir une garnison de 1200 hommes; il
fallait donc trouver les moyens de la munir d'une quantité considérable
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mais elle donne dans une cour spéciale, séparée elle-même de
la cour principale du château par une porte fermée par une herse, par
des vantaux, et protégée par les mâchicoulis (voy. CHÂTEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 24, et
DONJON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 41). Cette poterne de ravitaillement est percée à travers une
haute courtine ayant 3 mètres d'épaisseur. Son seuil, comme nous venons
de le dire, est placé à 10 mètres au-dessus du niveau du sol extérieur.
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parfois des poternes qui s'ouvrent sur un passage détourné, et dont
l'issue est commandée par des meurtrières (voy. le plan du château de
Bonaguil, à l'article CHÂTEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 28).
 
Mais nous ne pouvons donner dans cet article tous les exemples si
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détails sont exécutés avec une grande finesse. On ne peut méconnaître
le style grandiose de ces figures, l'énergie du geste, et souvent même
la belle entente des draperies. Mais, à l'article STATUAIRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Statuaire |Statuaire ]], nous aurons
l'occasion de faire ressortir les qualités singulières de cette école clunisienne.
Les profils sont beaux, et la sculpture d'ornement d'une hardiesse
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sans effet. Cependant la porte de la cathédrale d'Autun est encore une
œuvre remarquable. On peut en saisir l'ensemble sur la figure 13 de
l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]].
l'article PORCHE.
 
Parmi les portes d'églises du XII<sup>e</sup> siècle, les plus remarquables, il faut
citer aussi celle de Moissac. Cette porte s'ouvre latéralement sur le grand
porche dont nous avons donné le plan figure 24, à l'article PORCHE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]]. Elle
est élevée sous un large berceau qui forme lui-même avant-porche et
qui est richement décoré de sculptures en marbre gris. Son trumeau
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soin rare et par un artiste consommé; les colonnettes des ébrasements sont
monolithes, et entre elles, les angles des pieds-droits retraités sont ornés
de fleurettes, deux dans chaque assise. À l'article CONGÉ[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Congé|Congé]] (fig. 3), nous
avons donné la partie inférieure du trumeau, dont la composition est
des plus originales. Mais, suivant l'habitude des architectes de la Bourgogne,
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hasard, qu'elle ne sait pas tout prévoir. À l'intérieur, une tribune de pierre
s'élève au-dessus de cette porte; elle est soutenue par de grands encorbellements
et par la colonnette B (voy. TRIBUNE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tribune |Tribune ]]), posée sur l'emmarchement
qui descend dans la nef; car le sol extérieur est plus élevé que le sol
intérieur du côté de la façade occidentale. Deux arcs de décharge en
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statuaire. Elle est construite entièrement en matériaux de choix, liais-cliquart de la butte Saint-Jacques.
 
Si l'on jette les yeux sur le plan de la cathédrale de Paris (voy. CATHÉDRALE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]],
fig. 1), on observera que cette porte de gauche s'ouvre sous la
tour, comme celle de droite, dans une salle voûtée au moyen d'arcs
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L'exécution répond en tout à la grandeur de la conception, et la
statuaire de cette porte peut être mise au rang des plus belles œuvres
dues aux artistes de l'Occident (voy. STATUAIRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Statuaire |Statuaire ]]).
 
La porte de la Vierge de la façade occidentale de Notre-Dame de Paris
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facile, malgré la complication apparente des formes.
 
Mais, à l'article TRAIT[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Trait |Trait ]], nous entrons dans de plus amples détails sur
les procédés des maîtres du moyen âge, et notamment du commencement
du XIV<sup>e</sup> siècle, lorsqu'il s'agit d'établir des plans superposés procédant
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et une école archaïque à son déclin; mais nous avons l'occasion de
constater l'influence et l'antagonisme de ces deux écoles à l'article
[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Statuaire |Statuaire ]].
STATUAIRE.
 
La cathédrale d'Amiens était commencée en 1220, quelques années
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à des monuments religieux ne se font remarquer que par l'habileté des
traçeurs et la délicatesse de la sculpture. Comme disposition générale,
elles rentrent dans les derniers exemples donnés ici (voy. TRUMEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Trumeau |Trumeau ]],
[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tympan |Tympan ]]).
TYMPAN).
 
==== PORTES D'ÉDIFICES CIVILS EXTÉRIEURS ET INTÉRIEURS. ====
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bâtis pendant cette période sont d'une grande richesse. Celles du Palais,
à Paris, dont il reste quelques débris et des dessins, étaient fort belles
(voy. PERRON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Perron |Perron ]]). Celles de l'escalier du Louvre, bâti par Charles V, étaient
également très-ornées.
</div>
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Nous citerons les portes d'entrée des hôtels de Sens et de Cluny à
Paris, qui existent encore, et qui sont postérieures de quelques années
à celles-ci<span id="note90"></span>[[#footnote90|<sup>90</sup>]]. À l'article MAISON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], nous avons présenté quelques portes des
XIV<sup>e</sup> et XV<sup>e</sup> siècles<span id="note91"></span>[[#footnote91|<sup>91</sup>]], qui nous dispenseront d'entrer dans plus de détails
sur cette partie importante des habitations du moyen âge. Cependant
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<span id="footnote5">[[#note5|5]] : Ce pont date du XIII<sup>e</sup> siècle.
 
<span id="footnote6">[[#note6|6]] : Voy. HOURD[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Hourd|Hourd]], fig. 1.
 
<span id="footnote7">[[#note7|7]] : La porte de Laon à Coucy est d'une date un peu antérieure à la construction du
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<span id="footnote8">[[#note8|8]] : Cette voie est encore apparente.
 
<span id="footnote9">[[#note9|9]] : Voy. MEURTRIÈRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Meurtrière|Meurtrière]], fig. 11.
 
<span id="footnote10">[[#note10|10]] : Nous n'avons, sur la tour G, aujourd'hui enterrée dans le boulevard et sous la route
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cette suite de gravures.
 
<span id="footnote12">[[#note12|12]] : Voy. MEURTRIÈRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Meurtrière|Meurtrière]], fig. 6.
 
<span id="footnote13">[[#note13|13]] : Voyez l'article ARCHITECTURE[[Dictionnaire MILITAIREraisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], fig. 11, et les <i>Archives des monuments historiques</i>.
 
<span id="footnote14">[[#note14|14]] : Ce plan est à l'échelle de 2 millimètres pour mètre.
 
<span id="footnote15">[[#note15|15]] : Voyez ÉCHAUGUETTE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Échauguette|Échauguette]], fig. 6.
 
<span id="footnote16">[[#note16|16]] : Voyez ARCHITECTURE[[Dictionnaire MILITAIREraisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], fig. 24.
 
<span id="footnote17">[[#note17|17]] : Voyez CONSTRUCTION[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]], fig. 149, 150, 151, 152,
153 et 154.
 
<span id="footnote18">[[#note18|18]] : Voyez FENÊTRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Fenêtre|Fenêtre]], fig. 40.
 
<span id="footnote19">[[#note19|19]] : Ce plan est à 0<sup>m</sup>,002 pour mètre.
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Beaux-Arts.
 
<span id="footnote22">[[#note22|22]] : Voyez l'article SIÉGE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Siége|Siége]].
 
<span id="footnote23">[[#note23|23]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Hourd|Hourd]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6 Mâchicoulis|Mâchicoulis]].
<span id="footnote23">[[#note23|23]] : Voyez HOURD, MÂCHICOULIS.
 
<span id="footnote24">[[#note24|24]] : Voyez l'article PONT[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], où il est parlé de ces ouvrages à propos du pont Saint-Bénézet
d'Avignon.
 
<span id="footnote25">[[#note25|25]] : Voyez l'article SIÉGE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Siége|Siége]].
 
<span id="footnote26">[[#note26|26]] : C'est à l'obligeance de M. Achard, le savant archiviste de la préfecture de Vaucluse,
Ligne 4 360 ⟶ 4 349 :
<span id="footnote31">[[#note31|31]] : La gravure d'Israël Sylvestre fait voir la place de la fausse braie avec son fossé en arrière.
 
<span id="footnote32">[[#note32|32]] : Voyez BARRIÈRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barre, Barrière|Barrière]].
 
<span id="footnote33">[[#note33|33]] : Voyez BASTILLE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Bastide, bastille|Bastille]].
 
<span id="footnote34">[[#note34|34]] : Voyez aussi, à l'article PONT[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], divers systèmes
de pont à bascule.
 
<span id="footnote35">[[#note35|35]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Engin|Engin]].
<span id="footnote35">[[#note35|35]] : Voyez ARCHITECTURE MILITAIRE, ENGIN.
 
<span id="footnote36">[[#note36|36]] : Voyez PONT[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], fig. 4.
 
<span id="footnote37">[[#note37|37]] : Voyez Androuet du Cerceau, <i>Des plus excellens
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<span id="footnote39">[[#note39|39]] : Voyez, pour le plan de cette barbacane, la figure 11,
en E ([[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]]).
en E (ARCHITECTURE MILITAIRE).
 
<span id="footnote40">[[#note40|40]] : Voyez BARBACANE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barbacane|Barbacane]], fig. 2 et 3.
 
<span id="footnote41">[[#note41|41]] : Voyez <i>Topographie de la Gaule</i>, Mérian.
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<span id="footnote42">[[#note42|42]] : Voyez <i>Topographie de la Gaule</i>, Mérian.
 
<span id="footnote43">[[#note43|43]] : Voyez CHÂTEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]].
 
<span id="footnote44">[[#note44|44]] : Voyez DONJON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]].
 
<span id="footnote45">[[#note45|45]] : Voyez CHÂTEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]].
 
<span id="footnote46">[[#note46|46]] : Voyez BARRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barre, Barrière|Barre]].
 
<span id="footnote47">[[#note47|47]] : Voyez DONJON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 35.
 
<span id="footnote48">[[#note48|48]] : Voyez la description de cette porte dans le <i>Bulletin monumental</i>, t. IX, p. 300.
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Drouyn a présenté un assez grand nombre de ces exemples de portes.
 
<span id="footnote50">[[#note50|50]] : Voyez PORCHE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]], fig. 4.
 
<span id="footnote51">[[#note51|51]] : Cet agneau a été gratté à la fin du dernier siècle.
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donnée par M. Mérimée.
 
<span id="footnote56">[[#note56|56]] : Voyez à l'article ARCHITECTURE[[Dictionnaire RELIGIEUSEraisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture religieuse|Architecture Religieuse]], fig. 21, l'aspect intérieur de cette porte.
 
<span id="footnote57">[[#note57|57]] : Cette ornementation a été estampée et est bien connue des artistes. C'est un des
Ligne 4 439 ⟶ 4 428 :
<span id="footnote63">[[#note63|63]] : Le couronnement tracé sur notre figure est une restauration.
 
<span id="footnote64">[[#note64|64]] : Voyez l'article STATUAIRE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Statuaire |Statuaire ]].
 
<span id="footnote65">[[#note65|65]] : L'église de la Souterraine, d'un très-beau style, de la fin du XII<sup>e</sup> siècle, a été res-resTaurée depuis peu par M. Abadie.
taurée depuis peu par M. Abadie.
 
<span id="footnote66">[[#note66|66]] : Le linteau et le trumeau de la porte de l'église de Nesles ont été enlevés et ne sont
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élevé à l'aide de ressources très-minimes.
 
<span id="footnote67">[[#note67|67]] : Voyez PIGNON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pignon |Pignon ]], fig. 8.
 
<span id="footnote68">[[#note68|68]] : Ces statues d'anges, le dais et le nimbe crucifère du Christ existent encore.
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jugement dernier.
 
<span id="footnote71">[[#note71|71]] : Voyez GÂBLE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Gâble |Gâble]].
 
<span id="footnote72">[[#note72|72]] : Cette porte était ainsi désignée parce qu'elle donnait du côté du cloître où se trouvait
installée, pendant le moyen âge, la bibliothèque du chapitre.
 
<span id="footnote73">[[#note73|73]] : Voyez GÂBLE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Gâble |Gâble]], fig. 5.
 
<span id="footnote74">[[#note74|74]] : Les deux portes de la Calende et des Libraires ont pu ainsi, sans trop de peine et de
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M. Gailhabaud, tome II.
 
<span id="footnote79">[[#note79|79]] : Voyez CATHÉDRALE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]], fig. 19 et 20.
 
<span id="footnote80">[[#note80|80]] : Cette sacristie est ménagée dans les chapelles carrées du chœur de cette église, côté
septentrional (voy. CATHÉDRALE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]], fig. 46).
 
<span id="footnote81">[[#note81|81]] : Voyez le plan de l'église de Saint-Urbain à l'article CONSTRUCTION[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]], fig. 102.
 
<span id="footnote82">[[#note82|82]] : Voyez PORCHE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]], fig. 29.
 
<span id="footnote83">[[#note83|83]] : Cette porte, par son style, appartient évidemment aux reconstructions de 1257;
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cathédrale de Paris.
 
<span id="footnote84">[[#note84|84]] : Voyez MAISON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], et l'ouvrage sur <i>l'Architecture civile</i>, de MM. Verdier et Cattois.
 
<span id="footnote85">[[#note85|85]] : Cette maison a été détruite depuis; nous n'avons pu en retrouver que la place lors
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<span id="footnote86">[[#note86|86]] : Cette porte provient d'une maison de Château-Vilain (Haute-Marne).
 
<span id="footnote87">[[#note87|87]] : Voyez MAISON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], et l'ouvrage déjà cité de MM. Verdier et Cattois.
 
<span id="footnote88">[[#note88|88]] : On retrouve cette même disposition à l'entrée du château de Blois et au-dessus de
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Paris, 1864.
 
<span id="footnote90">[[#note90|90]] : Voyez MAISON[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], fig. 39.
 
<span id="footnote91">[[#note91|91]] : Voyez fig. 21, 24, 25, 27, 28, 29, 37. Voyez aussi
l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Salle |Salle ]].
l'article SALLE.
 
<span id="footnote92">[[#note92|92]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Escalier|Escalier]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]].
<span id="footnote92">[[#note92|92]] : Voyez CHÂTEAU, ESCALIER, MAISON.
 
<span id="footnote93">[[#note93|93]] : Voyez <i>Notices sur les monuments du Berry</i>, par