« Le Horla (recueil, Ollendorff 1895)/L’Auberge » : différence entre les versions

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C’était, au loin, un peuple de sommets blancs, inégaux, écrasés ou pointus et luisants sous le soleil : le Mischabel avec ses deux cornes, le puissant massif du Wissehorn, le lourd Brunnegghorn, la haute et redoutable pyramide du Cervin, ce tueur d’hommes, et la Dent-Blanche, cette monstrueuse coquette.
 
Puis,
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Puis, au-dessous d’eux, dans un trou démesuré, au fond d’un abîme effrayant, ils aperçurent Loëche, dont les maisons semblaient des grains de sable jetés dans cette crevasse énorme que finit et que ferme la Gemmi, et qui s’ouvre, là-bas, sur le Rhône.
 
Le mulet s’arrêta au bord du sentier qui va, serpentant, tournant sans cesse et revenant, fantastique et merveilleux, le long de la montagne droite, jusqu’à ce petit village presque invisible, à son pied. Les femmes sautèrent dans la neige.
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La petite Hauser faillit mourir, cet été-là, d’une maladie de langueur qu’on attribua au froid de la montagne.
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