« Le Horla (recueil, Ollendorff 1895)/Amour » : différence entre les versions

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Mais un cri bizarre, un cri perdu, un cri errant, passa, sur nos têtes. La lueur de notre foyer réveillait les oiseaux sauvages.
 
Rien ne m’émeut comme cette première clameur de vie qu’on ne voit point et qui court dans l’air sombre, si vite, si loin, avant qu’apparaisse à l’horizon la premiè{{tiret|pre|mière}}
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re{{tiret2|pre|mière}} clarté des jours d’hiver. Il me semble à cette heure glaciale de l’aube, que ce cri fuyant emporté par des plumes d’une bête est un soupir de l’âme du monde !
 
Karl disait : « Éteignez le feu. Voici l’aurore. »
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Je les mis, froids déjà, dans le même carnier...et je repartis, ce jour-là, pour Paris.
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