« Albertine disparue » : différence entre les versions
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ballon, de téléphone, etc., dans leurs perfectionnements ultérieurs),
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ne nous permet de voir que fort peu de choses à la fois, le souvenir de
l’établissement de douches occupait tout le champ de ma vision
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elle-même. Et aussitôt l’idée de cette question que j’aurais voulu,
qu’il me semblait que j’allais lui poser, ayant amené Albertine à mon
côté
d’une de ces rencontres qui, comme cela se passe dans les photographies
qui ne sont pas « posées », dans les instantanés, laissent toujours la
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petite apparition.
Je ne vois plus rien d’intéressant à dire à Monsieur »,
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car il n’y a rien, absolument rien à tirer », et le chroniqueur du
« Salon » : « Devant cette manière d’organiser une exposition on se sent
pris d’un immense découragement, d’une tristesse
de ce que je sentais me faisait paraître mensongères et pâles les
expressions de ceux qui n’avaient pas de vrais bonheurs ou malheurs, en
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trois ans ; je n’y trouve rien de mal, au contraire. Justement, à propos
du soir où elle voulait tant aller le lendemain avec vous chez Mme
Verdurin, vous vous souvenez peut-
phrase, je vis dans les yeux d’Andrée, qu’il faisait pointus comme ces
pierres qu’à cause de cela les joailliers ont de la peine à employer,
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écoutent avec curiosité ? L’homme que j’étais quand je parlais à Bloch de
la princesse de Guermantes, de Mme Swann, cet être-là existait qui eût
pu me parler d’Albertine, cet être-là existe
rencontrons jamais. Il me semblait que, si j’avais pu trouver des femmes
qui l’eussent connue, j’eusse appris tout ce que j’ignorais. Pourtant, à
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