« Hernani (Hetzel, 1889) » : différence entre les versions

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9 mars 1830.
 
 
==__MATCH__:[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/19]]==
 
 
== ACTE PREMIER ==
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:::Vite, ouvrons.
 
''
''Elle ouvre la petite porte masquée. Entre don Carlos, le manteau sur le visage et le chapeau sur les yeux.''
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/20]]==
''Elle ouvre la petite porte masquée. Entre don Carlos, le manteau sur le visage et le chapeau sur les yeux.''
 
::::::Bonjour, beau cavalier.
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DON CARLOS.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/21]]==
CARLOS.
 
::Sans doute elle attend son jeune?
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DOÑA JOSEFA.
 
::::::::Jamais.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/22]]==
Jamais.
 
 
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DOÑA JOSEFA.
 
:::::::Ô ciel! J'entends le pas
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/23]]==
ciel! J'entends le pas
 
De doña Sol. Seigneur, fermez vite la porte.
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DOÑA JOSEFA.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/24]]==
JOSEFA.
 
:::Madame!
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::::::::::Chère âme,
 
Ne
Ne pensons plus au duc.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/25]]==
Ne pensons plus au duc.
 
 
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Je te cherchais partout, Carlos, roi des Castilles!
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/26]]==
Car la haine est vivace entre nos deux familles.
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/27]]==
HERNANI.
 
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Hernani, n'allez pas sur mon audace étrange
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/28]]==
Me blâmer. êtes-vous mon démon ou mon ange?
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/29]]==
HERNANI, ''la main sur la garde de son épée''.
 
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Partageons, voulez-vous? J'ai vu dans sa belle âme
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/30]]==
Tant d'amour, de bonté, de tendres sentiments,
 
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HERNANI.
 
::::::::Que t'importe?
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/31]]==
Que t'importe?
 
En garde! Défends-toi!
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HERNANI, ''montrant l'armoire à don Carlos''.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/32]]==
montrant l'armoire à don Carlos''.
 
Cachons-nous.
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SCENE 3
 
''
''Les mêmes. Don Ruy Gomez De Silva. Valets avec des flambeaux.''
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/33]]==
''Les mêmes. Don Ruy Gomez De Silva. Valets avec des flambeaux.''
 
 
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Les eût tenus pour vils et fait mettre à genoux,
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/34]]==
Et qu'il eût, dégradant leur noblesse usurpée,
 
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Je la crois chaste et pure, et sacrée à tout homme,
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/35]]==
Or il faut que je sorte une heure, et moi qu'on nomme
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/36]]==
DON CARLOS, ''gravement''.
 
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:::::::L'aïeul de votre altesse
 
Est mort?
Est mort? Duc, tu m'en vois pénétré de tristesse.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/37]]==
Est mort? Duc, tu m'en vois pénétré de tristesse.
 
Qui lui succède?
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/38]]==
DON RUY GOMEZ.
 
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DON CARLOS.
 
Ce
Ce roi François Premier, c'est un ambitieux!
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/39]]==
Ce roi François Premier, c'est un ambitieux!
 
Le vieil empereur mort, vite il fait les doux yeux
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/40]]==
DON CARLOS.
 
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DON RUY GOMEZ.
 
Je l'ignore. On le dit un rude compagnon.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/41]]==
On le dit un rude compagnon.
 
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/42]]==
DON CARLOS, ''revenant, à part''.
 
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HERNANI, ''seul''.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/43]]==
seul''.
 
Oui, de ta suite, ô roi! De ta suite! — j'en suis.
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Va devant, je te suis. Ma vengeance qui veille
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/44]]==
Avec moi, toujours marche et me parle à l'oreille!
 
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== reste ==
Une cour ouverte. A gauche les grands murs de l'hôtel de Silva, avec une fenêtre à balcon ; au-dessous de la fenêtre, une petite porte ; à droite et au fond, des maisons et des rues. Il est nuit. On voit briller çà et là, aux façades des édifices, quelques fenêtres encore éclairées.