« La Débâcle/Partie 3/Chapitre VI » : différence entre les versions

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excessive des réquisitions.
D’abord, Delaherche souffrit beaucoup des soldats et
des officiers
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des officiers qu’il eut à loger. Toutes les
nationalités défilaient chez lui, la pipe aux
dents. Chaque jour, il tombait sur la ville, à
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devant la sousSous-préfecturePréfecture, sa calèche attelée de
deux chevaux : le maire fut un moment arrêté,
lui-même serait allé le rejoindre à la
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une défaite de plus.
Ce fut à ce moment qu’Henriette tomba un matin rue
Maqua, pour
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Maqua, pour intéresser les Delaherche au sort de
l’oncle Fouchard. Elle avait entendu parler avec des
sourires de l’influence toute-puissante que
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Lorsque Gilberte aperçut Henriette, elle poussa
un cri de joie.
— Ah ! Que
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je suis heureuse de te voir ! … il
 
— Ah ! Que je suis heureuse de te voir ! … il
me semble qu’il y a si longtemps, et l’on
vieillit si vite, au milieu de ces vilaines
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Mais celui-ci rougissait, comme sous l’excès du
plaisir, chaque fois qu’une femme le regardait
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arrêté à Remilly, vous savez bien, à la suite
de cette histoire de francs-tireurs.
— Ah ! Oui, l’affaire
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de l’espion, le malheureux
 
— Ah ! Oui, l’affaire de l’espion, le malheureux
qu’on a trouvé dans un sac… oh ! C’est grave,
très grave ! Je crains bien de ne rien pouvoir.
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se retourna, leurs mains s’agitèrent, tandis qu’ils
répétaient d’une voix bégayante :
— Adieu !
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Adieu !
 
AhAdieu ! QueAdieu !
Cette nuit-là, Henriette, rentrée à Remilly,
était de service à l’ambulance. Pendant sa longue