« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Porte » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m coquilles 1a au lieu de la
YannBot (discussion | contributions)
m Bot: Fixing redirects
Ligne 1 :
{{TextQuality|100%}}<div class="text">
{| width=100% border="0"
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Portail|Portail]]</center>
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index alphabétique - P|Index alphabétique - P]]</center>
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Portique|Portique]] ></center>
|-
|
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index Tome 7|Index par tome]]</center>
|
|}
Ligne 21 :
==== PORTES FORTIFIÉES <i>tenant aux enceintes de villes, châteaux, manoirs</i>. ====
<span id=Autun34>Il existe encore en France quelques portes romaines et gallo-romaines qui présentent les caractères d'une issue percée dans une enceinte et protégée par des défenses. Telles sont les portes de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nimes|Nîmes]],
d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Arles|Arles]], de Langres, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]]: les premières antérieures à l'établissement
du christianisme; celles d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]] datant du IV<sup>e</sup> ou V<sup>e</sup> siècle. Ces portes sont
toutes dressées à peu près sur un même plan. Elles consistent en deux
issues, l'une pour l'entrée, l'autre pour la sortie des chariots, et en
deux passages pour les piétons; elles sont flanquées extérieurement de
deux tours semi-circulaires formant une saillie prononcée. Les portes
d'Arroux et de Saint-André, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], sont surmontées, au-dessus des
deux arcs donnant passage à travers l'enceinte, d'un chemin de ronde à
claire-voie, qui pouvait servir au besoin de défense. Les baies, s'ouvrant
Ligne 36 :
[[Image:Porte.Saint.Andre.Autun.2.png|center]]
<div class="text">
La porte de Saint-André, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], est l'une des plus complètes de
toutes celles que nous possédons en France, et se rapproche de
l'époque du moyen âge<span id="note2"></span>[[#footnote2|<sup>2</sup>]]. Elle est d'ailleurs entièrement tracée sur le
Ligne 60 :
<div class="text">
Nous nous sommes souvent demandé, en voyant les portes des villes
de Pompéi, de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nimes|Nîmes]], d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], de Trèves, toutes si bien disposées pour
l'entrée des chariots et des piétons, pourquoi, depuis qu'on a prétendu
revenir aux formes de l'antiquité grecque et romaine, on n'avait jamais
Ligne 83 :
exemple, la disposition de la porte dite d'Auguste, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Nimes|Nîmes]].
 
Les tours et remparts touchant à la porte de Saint-André d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]]
sont construits en blocages revêtus extérieurement et intérieurement
d'un parement de petits moellons cubiques, suivant la méthode
Ligne 98 :
même parfois très-loin dans la campagne, formaient un vaste
triangle dont le rempart de la ville était la base et dont le sommet était
protégé par une tour ou poste en maçonnerie. À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]] même, on voit
encore, de l'autre côté de la rivière d'Arroux, un de ces grands ouvrages
triangulaires de terre, dont les deux côtés aboutissaient à deux ponts et
Ligne 563 :
malgré la garnison. Alors la porte est toujours un poste isolé, commandé
par un chef sûr, et pouvant encore résister en cas de trahison ou d'escalade
du rempart. Nous faisons ressortir, à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]],
l'importance de ces postes isolés dans le système défensif du moyen âge,
et il ne paraît pas nécessaire de revenir ici sur ce sujet.
Ligne 837 :
<div class="text">
Philippe le Bel fit élever, pendant les dernières années du XIII<sup>e</sup> siècle,
en face d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] , une citadelle importante<span id="note24"></span>[[#footnote24|<sup>24</sup>]], ouverte par une seule
porte, du côté accessible, c'est-à-dire au midi, en face de la petite ville
de Villeneuve-lez-Avignon. Cette porte est flanquée de deux grosses
Ligne 932 :
de présenter ci-dessus est donc plutôt l'entrée d'un château que d'une
ville populeuse et dont les issues doivent être laissées libres tout le jour.
Les portes de la ville d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] étaient bien, au XIV<sup>e</sup> siècle, des ouvrages
disposés pour une cité fortifiée, mais contenant une population
nombreuse
et active.
 
<span id="Avignon11">Les remparts d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] furent élevés de 1348 à 1364. Ils étaient percés,
soit du côté du Rhône, soit du côté de la plaine, de plusieurs portes,
parmi lesquelles nous choisirons la porte Saint-Lazare, l'une des mieux
conservées et sur laquelle nous possédons des documents complets<span id="note26"></span>[[#footnote26|<sup>26</sup>]].
 
La porte Saint-Lazare d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] fut détruite, ou du moins fort
endommagée par une inondation formidable de la Durance en 1358.
Elle fut reconstruite sous Urbain V, vers 1364, avec toute la partie des
Ligne 1 002 :
l'on entrait sur le chemin de ronde du crénelage par la porte P ménagée
dans un tambour de pierre posé à l'angle du crénelage. Chacune des
portes des remparts d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] était munie d'une cloche, afin de pouvoir
prévenir les défenseurs ou les habitants en cas d'attaque ou de surprise.
Si nous faisons une section transversale sur la ligne <i>ab</i> de la figure 29 et
Ligne 1 020 :
[[Image:Porte.Saint.Lazare.Avignon.png|center]]
<div class="text">
La porte Saint-Lazare d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] est remarquable déjà par la simplicité
des constructions. Ici on ne voit plus cette accumulation d'obstacles
dont la disposition compliquée devait souvent embarrasser les défenseurs.
Les portes d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] ne sont pas, il est vrai, très-fortes, mais elles ont
bien le caractère qui convient à l'enceinte d'une grande ville. La porte
Saint-Lazare, avec son boulevard ou barbacane extérieure, protégeait
Ligne 1 442 :
une importance plus considérable au point de vue de la défense; elles se
munirent de tours, ainsi que nous l'avons montré plus haut en nous
occupant de la porte Saint-Lazare d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] ; elles prirent le nom de
châtelets, de bastilles, de boulevards, et leurs portes, tout en étant commandées
par les ouvrages intérieurs, furent souvent flanquées de tourelles
Ligne 1 653 :
par cette voie. Le château de Pierrefonds possédait aussi sa poterne de
ravitaillement. Nous avons indiqué sa position dans le plan de ce château
(voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 24, et [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 41 et 44). Le château de Pierrefonds
pouvait facilement contenir une garnison de 1200 hommes; il
fallait donc trouver les moyens de la munir d'une quantité considérable
Ligne 1 677 :
mais elle donne dans une cour spéciale, séparée elle-même de
la cour principale du château par une porte fermée par une herse, par
des vantaux, et protégée par les mâchicoulis (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 24, et
[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 41). Cette poterne de ravitaillement est percée à travers une
haute courtine ayant 3 mètres d'épaisseur. Son seuil, comme nous venons
de le dire, est placé à 10 mètres au-dessus du niveau du sol extérieur.
Ligne 1 743 :
parfois des poternes qui s'ouvrent sur un passage détourné, et dont
l'issue est commandée par des meurtrières (voy. le plan du château de
Bonaguil, à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], fig. 28).
 
Mais nous ne pouvons donner dans cet article tous les exemples si
Ligne 1 896 :
Que signifient ces bas-reliefs? Il faut d'abord observer qu'ils tiennent
la place occupée dans des tympans de la même époque, ou peu s'en faut
(comme celui de la cathédrale d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], par exemple), par les scènes du
jugement dernier, de la séparation des élus des damnés. Alors les élus
occupent le linteau de gauche (celui qui est à la droite du Christ), et les
Ligne 1 976 :
de coloration.
 
<span id=Autun21>À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], la porte principale de la cathédrale présente une disposition
analogue à celle de Vézelay, mais sa sculpture, bien que d'une époque
un peu plus récente, n'a pas un caractère aussi puissant. La composition
manque d'ampleur et d'originalité. À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], cette double ordonnance
des pieds-droits et du trumeau n'existe plus; les colonnettes s'élèvent
jusqu'au niveau du linteau. Les profils sont maigres, la statuaire plate et
sans effet. Cependant la porte de la cathédrale d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]] est encore une
œuvre remarquable. On peut en saisir l'ensemble sur la figure 13 de
l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]].
 
Parmi les portes d'églises du XII<sup>e</sup> siècle, les plus remarquables, il faut
citer aussi celle de Moissac. Cette porte s'ouvre latéralement sur le grand
porche dont nous avons donné le plan figure 24, à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]]. Elle
est élevée sous un large berceau qui forme lui-même avant-porche et
qui est richement décoré de sculptures en marbre gris. Son trumeau
Ligne 2 028 :
byzantin se fait seulement sentir dans le système d'un arc soulageant un
linteau, dans les profils et quelques ornements. On ne saurait donc méconnaître
que les portes de Vézelay, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Autun|Autun]], de Moissac, appartiennent
à l'art français, sinon par tous les détails, au moins par la disposition générale.
Une fois admise, cette disposition dut paraître bonne, car elle ne
Ligne 2 104 :
du XIV<sup>e</sup> siècle, conservent la porte principale datant de la fin
du XII<sup>e</sup>. À l'abbaye de Saint-Denis, la porte nord du transsept de Suger
est laissée au milieu des reconstructions du XIII<sup>e</sup>. À [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Auxerre|Auxerre]], des portes
datant du milieu du XIII<sup>e</sup> siècle restent engagées dans les constructions
refaites sur la façade au XV<sup>e</sup>. Et en effet, jamais les architectes des XIV<sup>e</sup> et
Ligne 2 205 :
latéralement
sur la nef de l'église de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes N#Namps.au.Val|Namps-au-Val]], dans les environs
d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]]. Elle se rapproche du style romano-grec des monuments des
environs d'Antioche, et il serait bien étrange que l'architecte qui a bâti
cette porte n'eût pas vu, ou tout au moins reçu des tracés de ces édifices
Ligne 2 542 :
occidentales
de la cathédrale de Paris sont à peu près contemporaines de
celle-ci, et que les portes des cathédrales d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]] et de Reims s'élèvent
trente ou quarante ans plus tard<span id="note66"></span>[[#footnote66|<sup>66</sup>]].
 
Ligne 2 582 :
soin rare et par un artiste consommé; les colonnettes des ébrasements sont
monolithes, et entre elles, les angles des pieds-droits retraités sont ornés
de fleurettes, deux dans chaque assise. À l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Congé|Congé]] (fig. 3), nous
avons donné la partie inférieure du trumeau, dont la composition est
des plus originales. Mais, suivant l'habitude des architectes de la Bourgogne,
Ligne 2 607 :
hasard, qu'elle ne sait pas tout prévoir. À l'intérieur, une tribune de pierre
s'élève au-dessus de cette porte; elle est soutenue par de grands encorbellements
et par la colonnette B (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tribune |Tribune ]]), posée sur l'emmarchement
qui descend dans la nef; car le sol extérieur est plus élevé que le sol
intérieur du côté de la façade occidentale. Deux arcs de décharge en
Ligne 2 681 :
gréco-romain,
réfugié en Syrie. En examinant les portes de Saint-Gilles et de
Saint-Trophime d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Arles|Arles]], qui datent de la fin du XII<sup>e</sup> siècle, on croirait
voir les restes de ces monuments semés en si grand nombre sur la route
d'Antioche à Alep. En effet, cette contrée fut conquise par les croisés
Ligne 2 703 :
byzantines. Il n'en pouvait être autrement, puisque les édifices des environs
d'Antioche sont totalement dépourvus de statuaire. Les belles
portes des églises de Saint-Trophime d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Arles|Arles]] et de Saint-Gilles sont
couvertes de figures fortement empreintes des traditions
gallo-romaines.
Ligne 2 727 :
en présentant les caractères d'un art très-avancé et plus près de la décadence
que du berceau. On peut apprécier ces caractères en jetant les
yeux sur la figure 66, qui donne une partie de la porte de Saint-Trophime d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Arles|Arles]]. Comme structure, comme profils et ornementation, cette
porte est toute romano-grecque syriaque; comme statuaire, elle est
gallo-romaine avec une influence byzantine prononcée. Son iconographie
Ligne 2 758 :
laïque de la fin du XII<sup>e</sup> siècle, s'appuyant sur une structure raisonnée et
l'étude de la nature, dépassa rapidement ses aînées de la Provence
et du Languedoc. La porte de Saint-Trophime d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Arles|Arles]], malgré ses mérites
au point de vue de la composition, des proportions et de la belle entente
des détails, est évidemment un monument tout voisin de la décadence;
Ligne 2 833 :
statuaire. Elle est construite entièrement en matériaux de choix, liais-cliquart de la butte Saint-Jacques.
 
Si l'on jette les yeux sur le plan de la cathédrale de Paris (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]],
fig. 1), on observera que cette porte de gauche s'ouvre sous la
tour, comme celle de droite, dans une salle voûtée au moyen d'arcs
Ligne 3 027 :
on peut, certes, constater le travail de mains différentes, sans qu'il en
résulte un défaut d'harmonie dans l'ensemble. Si les grandes portes du
XIII<sup>e</sup> siècle, appartenant aux cathédrales de Chartres, de Reims, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]],
de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], présentent des exemples admirables, on ne saurait
cependant
Ligne 3 098 :
de ce petit paradis géométrique, où la statuaire ne remplit qu'un rôle
très-secondaire, aux glorieux tympans de Notre-Dame de Paris, de
Chartres, d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]], et de la cathédrale de Bordeaux. Cette façon
sommaire
de représenter la scène du jugement indique assez que la grande
Ligne 3 199 :
ensemble d'architecture de plus en plus orné; elles ne formèrent plus
une partie distincte dans les façades, mais furent reliées, soit par des
portails avancés, comme à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]], soit par un système décoratif général,
comme à Reims, à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes B#Bourges|Bourges]], à Notre-Dame de Paris même, aux extrémités du transsept; comme aux portails des Libraires et de la Calende
à la cathédrale de Rouen. Cependant elles conservèrent leurs profondes
Ligne 3 321 :
facile, malgré la complication apparente des formes.
 
Mais, à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Trait |Trait ]], nous entrons dans de plus amples détails sur
les procédés des maîtres du moyen âge, et notamment du commencement
du XIV<sup>e</sup> siècle, lorsqu'il s'agit d'établir des plans superposés procédant
Ligne 3 385 :
saillies. <span id="Abbeville2">Au commencement du XVI<sup>e</sup> siècle, rien n'était encore changé aux
données principales de ces grandes baies, ainsi qu'on peut le reconnaître
en examinant les portes des églises de Saint-Wulfrand d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Abbeville|Abbeville]] et de
Saint Riquier (Somme); mais dans ces deux derniers monuments on
peut constater que les portes des façades sont tellement liées à celles-ci,
Ligne 3 520 :
à la fin de la première moitié du XII<sup>e</sup> siècle, lorsqu'il s'agit des portes
d'un ordre inférieur, il suffira d'examiner la figure 75, qui donne en A
une porte latérale de l'ancienne église d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Alet|Alet]] (Aude), détruite aujourd'hui
en grande partie, et en B une porte latérale de la nef de l'église
de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Cinqueux|Cinqueux]] (diocèse de Beauvais). La porte A semble copiée sur un
Ligne 3 624 :
et une école archaïque à son déclin; mais nous avons l'occasion de
constater l'influence et l'antagonisme de ces deux écoles à l'article
[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Sculpture |Statuaire ]].
 
<span id="Amiens90">La cathédrale d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]] était commencée en 1220, quelques années
après celle de Reims. Les constructions premières comprirent la nef et
les deux bras de croix, et il est probable que Robert de Luzarches,
Ligne 3 647 :
maîtres savaient plier leur talent aux traditions locales, à la qualité
des matériaux mis à leur disposition et au génie des populations qui
les appelaient. La porte latérale de la nef de Notre-Dame d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]] est
encore, dans les détails de la sculpture, quelque peu empreinte du
style du XII<sup>e</sup> siècle, mais la composition est entièrement nouvelle.
Ligne 3 661 :
caractère. Déjà les arcs sont accompagnés de redents et les profils sont
fins et multipliés. On retrouve dans cette composition secondaire l'ampleur,
qui est une des plus belles qualités de la cathédrale d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]].
Ce ne sont plus les proportions massives et allongées de Notre-Dame
de Reims; les supports sont grêles et les ouvertures larges. C'est ainsi
Ligne 3 667 :
un parti, suivi fidèlement dans les détails aussi bien que dans les ensembles
de leurs compositions. En A, est tracé le plan de la porte
latérale de la cathédrale d'[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]]; en B, au vingtième de l'exécution,
la section d'un pied-droit avec sa colonnette monolithe, les tailloirs des
chapiteaux et la trace des archivoltes sur ces tailloirs, les profils <i>a</i> et <i>b</i>
Ligne 3 912 :
à des monuments religieux ne se font remarquer que par l'habileté des
traçeurs et la délicatesse de la sculpture. Comme disposition générale,
elles rentrent dans les derniers exemples donnés ici (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Trumeau |Trumeau ]],
[[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tympan |Tympan ]]).
 
==== PORTES D'ÉDIFICES CIVILS EXTÉRIEURS ET INTÉRIEURS. ====
Ligne 4 048 :
bâtis pendant cette période sont d'une grande richesse. Celles du Palais,
à Paris, dont il reste quelques débris et des dessins, étaient fort belles
(voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Perron |Perron ]]). Celles de l'escalier du Louvre, bâti par Charles V, étaient
également très-ornées.
</div>
Ligne 4 106 :
Nous citerons les portes d'entrée des hôtels de Sens et de Cluny à
Paris, qui existent encore, et qui sont postérieures de quelques années
à celles-ci<span id="note90"></span>[[#footnote90|<sup>90</sup>]]. À l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], nous avons présenté quelques portes des
XIV<sup>e</sup> et XV<sup>e</sup> siècles<span id="note91"></span>[[#footnote91|<sup>91</sup>]], qui nous dispenseront d'entrer dans plus de détails
sur cette partie importante des habitations du moyen âge. Cependant
Ligne 4 279 :
<span id="footnote5">[[#note5|5]] : Ce pont date du XIII<sup>e</sup> siècle.
 
<span id="footnote6">[[#note6|6]] : Voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Hourd|Hourd]], fig. 1.
 
<span id="footnote7">[[#note7|7]] : La porte de Laon à Coucy est d'une date un peu antérieure à la construction du
Ligne 4 290 :
<span id="footnote8">[[#note8|8]] : Cette voie est encore apparente.
 
<span id="footnote9">[[#note9|9]] : Voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Meurtrière|Meurtrière]], fig. 11.
 
<span id="footnote10">[[#note10|10]] : Nous n'avons, sur la tour G, aujourd'hui enterrée dans le boulevard et sous la route
Ligne 4 302 :
cette suite de gravures.
 
<span id="footnote12">[[#note12|12]] : Voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Meurtrière|Meurtrière]], fig. 6.
 
<span id="footnote13">[[#note13|13]] : Voyez l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], fig. 11, et les <i>Archives des monuments historiques</i>.
 
<span id="footnote14">[[#note14|14]] : Ce plan est à l'échelle de 2 millimètres pour mètre.
 
<span id="footnote15">[[#note15|15]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Échauguette|Échauguette]], fig. 6.
 
<span id="footnote16">[[#note16|16]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], fig. 24.
 
<span id="footnote17">[[#note17|17]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]], fig. 149, 150, 151, 152,
153 et 154.
 
<span id="footnote18">[[#note18|18]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Fenêtre|Fenêtre]], fig. 40.
 
<span id="footnote19">[[#note19|19]] : Ce plan est à 0<sup>m</sup>,002 pour mètre.
Ligne 4 325 :
Beaux-Arts.
 
<span id="footnote22">[[#note22|22]] : Voyez l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, SiégeSiège|Siége]].
 
<span id="footnote23">[[#note23|23]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Hourd|Hourd]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6 Mâchicoulis|Mâchicoulis]].
 
<span id="footnote24">[[#note24|24]] : Voyez l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], où il est parlé de ces ouvrages à propos du pont Saint-Bénézet
d' [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A#Avignon|Avignon]] .
 
<span id="footnote25">[[#note25|25]] : Voyez l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, SiégeSiège|Siége]].
 
<span id="footnote26">[[#note26|26]] : C'est à l'obligeance de M. Achard, le savant archiviste de la préfecture de Vaucluse,
Ligne 4 349 :
<span id="footnote31">[[#note31|31]] : La gravure d'Israël Sylvestre fait voir la place de la fausse braie avec son fossé en arrière.
 
<span id="footnote32">[[#note32|32]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barre, Barrière|Barrière]].
 
<span id="footnote33">[[#note33|33]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Bastide, bastille|Bastille]].
 
<span id="footnote34">[[#note34|34]] : Voyez aussi, à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], divers systèmes
de pont à bascule.
 
<span id="footnote35">[[#note35|35]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Engin|Engin]].
 
<span id="footnote36">[[#note36|36]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pont |Pont ]], fig. 4.
 
<span id="footnote37">[[#note37|37]] : Voyez Androuet du Cerceau, <i>Des plus excellens
Ligne 4 366 :
 
<span id="footnote39">[[#note39|39]] : Voyez, pour le plan de cette barbacane, la figure 11,
en E ([[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture militaire|Architecture Militaire]]).
 
<span id="footnote40">[[#note40|40]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barbacane|Barbacane]], fig. 2 et 3.
 
<span id="footnote41">[[#note41|41]] : Voyez <i>Topographie de la Gaule</i>, Mérian.
Ligne 4 374 :
<span id="footnote42">[[#note42|42]] : Voyez <i>Topographie de la Gaule</i>, Mérian.
 
<span id="footnote43">[[#note43|43]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]].
 
<span id="footnote44">[[#note44|44]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]].
 
<span id="footnote45">[[#note45|45]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]].
 
<span id="footnote46">[[#note46|46]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Barre, Barrière|Barre]].
 
<span id="footnote47">[[#note47|47]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Donjon|Donjon]], fig. 35.
 
<span id="footnote48">[[#note48|48]] : Voyez la description de cette porte dans le <i>Bulletin monumental</i>, t. IX, p. 300.
Ligne 4 389 :
Drouyn a présenté un assez grand nombre de ces exemples de portes.
 
<span id="footnote50">[[#note50|50]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]], fig. 4.
 
<span id="footnote51">[[#note51|51]] : Cet agneau a été gratté à la fin du dernier siècle.
Ligne 4 405 :
donnée par M. Mérimée.
 
<span id="footnote56">[[#note56|56]] : Voyez à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 1, Architecture religieuse|Architecture Religieuse]], fig. 21, l'aspect intérieur de cette porte.
 
<span id="footnote57">[[#note57|57]] : Cette ornementation a été estampée et est bien connue des artistes. C'est un des
Ligne 4 416 :
<span id="footnote59">[[#note59|59]] : Sauf une seule, ces statuettes ont été mutilées.
 
<span id="footnote60">[[#note60|60]] : M. Massenot, architecte à [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - /Index communes A|Amiens]], a relevé pour nous cette porte avec le plus grand
soin. Les fenêtres romanes de cette église sont empreintes du même caractère plein
cintre, et ornées de cette volute terminale à la base des archivoltes si fréquente dans les
Ligne 4 437 :
élevé à l'aide de ressources très-minimes.
 
<span id="footnote67">[[#note67|67]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pignon |Pignon ]], fig. 8.
 
<span id="footnote68">[[#note68|68]] : Ces statues d'anges, le dais et le nimbe crucifère du Christ existent encore.
Ligne 4 459 :
jugement dernier.
 
<span id="footnote71">[[#note71|71]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Gâble |Gâble]].
 
<span id="footnote72">[[#note72|72]] : Cette porte était ainsi désignée parce qu'elle donnait du côté du cloître où se trouvait
installée, pendant le moyen âge, la bibliothèque du chapitre.
 
<span id="footnote73">[[#note73|73]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Gâble |Gâble]], fig. 5.
 
<span id="footnote74">[[#note74|74]] : Les deux portes de la Calende et des Libraires ont pu ainsi, sans trop de peine et de
Ligne 4 481 :
M. Gailhabaud, tome II.
 
<span id="footnote79">[[#note79|79]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]], fig. 19 et 20.
 
<span id="footnote80">[[#note80|80]] : Cette sacristie est ménagée dans les chapelles carrées du chœur de cette église, côté
septentrional (voy. [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale|Cathédrale]], fig. 46).
 
<span id="footnote81">[[#note81|81]] : Voyez le plan de l'église de Saint-Urbain à l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction|Construction]], fig. 102.
 
<span id="footnote82">[[#note82|82]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porche |Porche ]], fig. 29.
 
<span id="footnote83">[[#note83|83]] : Cette porte, par son style, appartient évidemment aux reconstructions de 1257;
Ligne 4 495 :
cathédrale de Paris.
 
<span id="footnote84">[[#note84|84]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], et l'ouvrage sur <i>l'Architecture civile</i>, de MM. Verdier et Cattois.
 
<span id="footnote85">[[#note85|85]] : Cette maison a été détruite depuis; nous n'avons pu en retrouver que la place lors
Ligne 4 502 :
<span id="footnote86">[[#note86|86]] : Cette porte provient d'une maison de Château-Vilain (Haute-Marne).
 
<span id="footnote87">[[#note87|87]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], et l'ouvrage déjà cité de MM. Verdier et Cattois.
 
<span id="footnote88">[[#note88|88]] : On retrouve cette même disposition à l'entrée du château de Blois et au-dessus de
Ligne 4 510 :
Paris, 1864.
 
<span id="footnote90">[[#note90|90]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]], fig. 39.
 
<span id="footnote91">[[#note91|91]] : Voyez fig. 21, 24, 25, 27, 28, 29, 37. Voyez aussi
l'article [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 8, Salle |Salle ]].
 
<span id="footnote92">[[#note92|92]] : Voyez [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Château|Château]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Escalier|Escalier]], [[Dictionnaire raisonné de l'architecturel’architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Maison|Maison]].
 
<span id="footnote93">[[#note93|93]] : Voyez <i>Notices sur les monuments du Berry</i>, par