« Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 1.djvu/397 » : différence entre les versions

Yricordel (discussion | contributions)
Balises : Problématique Modification par mobile Modification par le web mobile
Yricordel (discussion | contributions)
Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page à problème
+
Page non corrigée
En-tête (noinclude) :En-tête (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{nr|360|ESC|}}
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{A|
<br/>


Parti d’azur et de gueules, à la bande d’or brochante.
Parti d’azur et de gueules, à la bande d’or brochante.
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
Cette famille éteinte en 1823, s’est alliée aux ''Bretagne-Avaugour, Maillé de Carmen, la Roche-Saint-André, Charbonneau'' et ''Pépin de Belle-Isle''. Elle a produit depuis 1385, cinq chevaliers ou commandeurs de l’ordre du Saint-Esprit, dont ''Henri'', archevêque de Bordeaux, intendant de l’artillerie au siège de la Rochelle en 1627, † 1615.}}
Cette famille éteinte en 1823, s’est alliée aux ''Bretagne-Avaugour, Maillé de Carmen, la Roche-Saint-André, Charbonneau'' et ''Pépin de Belle-Isle''. Elle a produit depuis 1385, cinq chevaliers ou commandeurs de l’ordre du Saint-Esprit, dont ''Henri'', archevêque de Bordeaux, intendant de l’artillerie au siège de la Rochelle en 1627, † 1615.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escoufflart}}, s{{e|r}} de Milleriz, — de Gaillou.}}
{{sc|Escoufflart}}, s{{e|r}} de Milleriz, — de Gaillou.}}
{{A|

D’azur à trois gerbes de blé d’or.
D’azur à trois gerbes de blé d’or.
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
''Georges'', vivant en 1539, marié à Guillemette de Bourgneuf ; ''Georges'', auditeur des comptes en 159J.
''Georges'', vivant en 1539, marié à Guillemette de Bourgneuf ; ''Georges'', auditeur des comptes en 159J.
Fondu dans la Monneraye.}}
Fondu dans la Monneraye.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escrivain (l’)}}, (orig. d’Anjou), s{{e|r}} de Saint-Marc, — de la Richardière, — des Vairies, — de la Garenne, — de Chanteloup, — du Bois-Noblet.}}
{{sc|Escrivain (l’)}}, (orig. d’Anjou), s{{e|r}} de Saint-Marc, — de la Richardière, — des Vairies, — de la Garenne, — de Chanteloup, — du Bois-Noblet.}}
{{A|

Ext., réf. 1671, six gén., ress. de Dinan.
Ext., réf. 1671, six gén., ress. de Dinan.


Ligne 19 : Ligne 21 :
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
''Jean'', vivant en 1500 épouse Guillemette Langlais.}}
''Jean'', vivant en 1500 épouse Guillemette Langlais.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escrots (d’)}}, (orig. de Bourgogne), s{{e|r}} dudit lieu, — d’Estrées, — d’Uchon, — de la Tour-du-Bois.}}
{{sc|Escrots (d’)}}, (orig. de Bourgogne), s{{e|r}} dudit lieu, — d’Estrées, — d’Uchon, — de la Tour-du-Bois.}}
{{A|

D’azur à la bande d’or, chargée de trois écrevisses de gueules et accomp. de trois molettes d’or.
D’azur à la bande d’or, chargée de trois écrevisses de gueules et accomp. de trois molettes d’or.
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
Cette famille portait jusqu’en 1584 le nom de ''le Pelletier'' ; elle a produit depuis : des commandeurs de Malte, un gentilhomme de la chambre en 1637, une fille à Saint-Cyr en 1710, deux maréchaux de camp en 1744 et 1781, et elle s’est alliée en Bretagne aux ''Feydeau, Juchault'' et ''Cornulier''.}}
Cette famille portait jusqu’en 1584 le nom de ''le Pelletier'' ; elle a produit depuis : des commandeurs de Malte, un gentilhomme de la chambre en 1637, une fille à Saint-Cyr en 1710, deux maréchaux de camp en 1744 et 1781, et elle s’est alliée en Bretagne aux ''Feydeau, Juchault'' et ''Cornulier''.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escu (de l’)}}, s{{e|r}} de la Sansonnaye et du Colombier, par. de Lanvallay, — comte de Beauvais en 1680, par. de Gévezé, — s{{e|r}} de Runfau, par. de Ploubezre, — de la Mancelière, par. de Baguer-Pican, — du Breil, — du Goust, par. de Malville, — de la Haye, par. de Lavau.}}
{{sc|Escu (de l’)}}, s{{e|r}} de la Sansonnaye et du Colombier, par. de Lanvallay, — comte de Beauvais en 1680, par. de Gévezé, — s{{e|r}} de Runfau, par. de Ploubezre, — de la Mancelière, par. de Baguer-Pican, — du Breil, — du Goust, par. de Malville, — de la Haye, par. de Lavau.}}
{{A|

Anc. ext. chev. réf. 1668, sept gén., réf. et montres de 1478 à 1513, par. de Lanvallay, év. de Dol.
Anc. ext. chev. réf. 1668, sept gén., réf. et montres de 1478 à 1513, par. de Lanvallay, év. de Dol.


Ligne 33 : Ligne 37 :
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
''Thomas'', vivant en 1450 épouse Guillemette de Beauchesne ; ''Gilles'', son fils, vivant en 1478 épouse Jacqueline Ferron ; ''Guillaume'', homme d’armes de la retenue du baron de Pont-l’Abbé en 1464; plusieurs conseillers au parlement et présidents aux enquêtes depuis 1610.}}
''Thomas'', vivant en 1450 épouse Guillemette de Beauchesne ; ''Gilles'', son fils, vivant en 1478 épouse Jacqueline Ferron ; ''Guillaume'', homme d’armes de la retenue du baron de Pont-l’Abbé en 1464; plusieurs conseillers au parlement et présidents aux enquêtes depuis 1610.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escures (des)}} (orig. du Bourbonnais, y maint, en 1667), s{{e|r}} de Pontcharrault, — de Ginzay.}}
{{sc|Escures (des)}} (orig. du Bourbonnais, y maint, en 1667), s{{e|r}} de Pontcharrault, — de Ginzay.}}
{{A|

De sinople à la croix ancrée d’argent, chargée en cœur d’une étoile de sable.
De sinople à la croix ancrée d’argent, chargée en cœur d’une étoile de sable.
{{bloc smaller|
{{bloc smaller|
''Philippe'', chambellan de Charles, duc de Bourbonnais en 1425 ; des chevaliers de Malte depuis 1532 ; un chanoine, comte de Lyon en 1619 ; ''Constant'', officier des vaisseaux du Roi, demeurant à Daoulas, évêché de Cornouaille, eut deux filles reçues à Saint-Cyr en 1733.}}
''Philippe'', chambellan de Charles, duc de Bourbonnais en 1425 ; des chevaliers de Malte depuis 1532 ; un chanoine, comte de Lyon en 1619 ; ''Constant'', officier des vaisseaux du Roi, demeurant à Daoulas, évêché de Cornouaille, eut deux filles reçues à Saint-Cyr en 1733.}}
|1|2}}
{{AN|
{{AN|
{{sc|Escuyer (l’)}} (orig. de Normandie, y maint, en 1667), s{{e|r}} de la Papotière.}}
{{sc|Escuyer (l’)}} (orig. de Normandie, y maint, en 1667), s{{e|r}} de la Papotière.}}