« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Stuc » : différence entre les versions

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Ce procédé ne demandait ni beaucoup de calculs, ni les prévisions savantes
de nos maîtres des XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles. Quelques édifices carlovingiens laissent apercevoir des traces de stucages sur des voûtes et
même sur des chapiteaux<span id="note3"></span>[1[#footnote3|<sup>3</sup>]].
 
Plus tard les stucs ne furent plus que de très-délicates applications
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<span id="footnote2">[[#note2|2]] : C'est la seule mosaïque de ce genre que nous possédions en France.
 
<span id="footnote3">[[#note3|3]] : Les gros chapiteaux de l'ancien narthex de Saint-Remi de Reims, ceux de la
crypte de Saint-Laurent de Grenoble, et même des chapiteaux de l'abside de l'église
d'Issoire, sont de simples corbeilles de pierre couvertes de figures et d'ornements de stuc.