« Page:Philosophie anatomique des organes respiratoires.djvu/108 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « dans l’homme, de même aussi on aura d’autant plus facilement l’intelligence de ce qui va suivre, l’on se défendra davantage des obsessions que des opinions régnantes. En effet, sans cette disposition, on ne saurait voir, sans en être rebuté, tout ce qui, dans les poissons, compose le sternum, les arcs branchiaux, les os hyoïdes et tant d’autres dépendances ; c’est en quelque sorte une forêt de pièces amoncelées les unes sur les autres : la vue n... » |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 20 : | Ligne 20 : | ||
réel, en venant à réfléchir que cet arrangement, |
réel, en venant à réfléchir que cet arrangement, |
||
tout bizarre qu’il paraît, est pourtant |
tout bizarre qu’il paraît, est pourtant |
||
ce qui opère la réunion des conditions indis |
ce qui opère la réunion des conditions {{tiret|indis|pensables}} |