« La pensée française des origines à la Révolution » : différence entre les versions

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",e;syre. L.e.eyfele,2-15/3ie,":. g raué autour de Diderot, approfondis-ilitté d.e pense,:e cartésienne et élevaient un àureeile. 11g jet(,..rent les fondements de notre propre
du rt-1,r-7.1srrie, ainsi que l'ont proclamé. ,v;;.rz E;5.;t, mat-érialisme dialectique, qui a - traditions historiques du matérialisme 1,0 z.•-/ h•44.(y„;le quius a rappelé Lénine. `',t)wilife, it-ithrafs du XVIII, siècle exercèrent une influence rion c.,171 France, à, travers le monde, et r.;;,/,,..,,f,,,./h4eit de la, pc.,rigAce fran(;alse de cette époque est encore tel jtJunt (joli tr()uble.; et. Irrite les dictateurs fascistes. (ian3 les divers paya allemands, d'une auto-r►tê, jr,41,,,,ritabic, I4 DIS«) là k5 ur l'in6galité, le Contrat social ont (p,-fivres comme le» Brigands et Intrigue et Amour de
)(• h(efftC.,t‘114/ amv(1.;-4„ rlii tmulp3 de Voltaire, résident à. Paris t, inatimeqnprit. à la vie de la société intellectuelle fran-Wpubflr.jue des lettres » dont on parlait hors de tiril,t.le-r(14. ;J,vec adusiration Jieaucoup de ces étrangers rédigent leur» compattlotes des Y correspondances « qui circu-it '0, q•Oifirei trianuscriteg et tont connaltre a. l'Europe et aussi au française. m,()11-v<t-ttle! étrupgers protègent les écrivains français. VolVoltaire est l'hôte de Frédéric II. Le philosophe français Condillac est choisi comme précepteur du prince de Parme. Catherine II protège Diderot et le fait venir pendant quelque temps à Saint-Péters-bourg... (I). La Révolution française allait être la vérification des critiques du 4 siècle philosophe ).> Toutes les formes antérieures de société et cl'Eta.t, toutes les notions anciennes transmises par tradition furent jetées au rancart comme contraires à la raison : le monde s'était laissé jusqu'alors mener exclusivement par des préjugés ; tout ce qui appartenait au passé ne méritait que compassion et mépris. Enfin, l'aurore se levait : désormais la superstition, l'in-justice, le privilège et l'oppression devaient céder la place à. la vérité éternelle, à la justice éte'rnelle, à l'égalité fondée sur la attire et aux droits inaliénables de l'homme. » (2).
page 147.) (I) m. Titmutt : une poutique de grandeur française. (Editions sociales, (;?) Eivons
 
 
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