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-fait longuement dans la version française de l’édition Schirmner&nbsp;<ref>{{sc|Widor}} et {{sc|Schweitzer}}, ''Les Préludes et les Fugues'' (New York).</ref>, ni des Concertos, ni du ''Clavecin bien tempéré''&nbsp;<ref>Czerny en a fait l’étude la plus approfondie, la plus intelligente par ses combinaisons de doigtés, qui, mieux que tous commentaires, expliquent le texte musical.</ref>, ni des Sonates&nbsp;<ref>L’adagio de la III{{e}} (clavecin et violon) est le chef-d’œuvre de la mélodie continue :
+fait longuement dans la version française de l’édition Schirmner<ref>{{sc|Widor}} et {{sc|Schweitzer}}, ''Les Préludes et les Fugues'' (New York).</ref>, ni des Concertos, ni du ''Clavecin bien tempéré''<ref>Czerny en a fait l’étude la plus approfondie, la plus intelligente par ses combinaisons de doigtés, qui, mieux que tous commentaires, expliquent le texte musical.</ref>, ni des Sonates<ref>L’adagio de la III{{e}} (clavecin et violon) est le chef-d’œuvre de la mélodie continue :
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