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considérèrent la scène funèbre, autour d’eux. |
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Au même instant, un groupe de personnes |
Au même instant, un groupe de personnes s’approcha d’eux. |
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— Êtes-vous blessés ? leur cria un petit homme |
— Êtes-vous blessés ? leur cria un petit homme |
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Maurice montra son front ; le petit homme, |
Maurice montra son front ; le petit homme, |
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après avoir haussé les épaules, lui tendit un flacon |
après avoir haussé les épaules, lui tendit un flacon |
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d’eau-de-vie. |
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— Tenez, dit-il, buvez une gorgée de ceci, et |
— Tenez, dit-il, buvez une gorgée de ceci, et |
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après cela, venez avec nous ! Il faut que tout le |
après cela, venez avec nous ! Il faut que tout le |
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monde nous aide ! Il y a fort à faire ! Vous pourrez |
monde nous aide ! Il y a fort à faire ! Vous pourrez |
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toujours vous rendre utiles, ne serait-ce |
toujours vous rendre utiles, ne serait-ce qu’en |
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allant chercher des brancards ! |
allant chercher des brancards ! |
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À peine le médecin et sa suite |
À peine le médecin et sa suite s’étaient-ils éloignés |
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que Maurice, sous |
que Maurice, sous l’influence vivifiante du |
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cordial, acheva de reprendre conscience de lui-même. |
cordial, acheva de reprendre conscience de lui-même. |
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—Seigneur ! |
—Seigneur ! s’écria-t-il. Et l’oncle Joseph ? |
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— Au fait, dit Jean, où peut-il bien |
— Au fait, dit Jean, où peut-il bien s’être |
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fourré ? Il ne doit pas être loin ! |
fourré ? Il ne doit pas être loin ! J’espère que le |
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pauvre vieux |
pauvre vieux n’est pas trop endommagé ! |
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— Viens |
— Viens m’aider à le chercher ! dit Maurice, |
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d’un ton tout particulier de farouche résolution. |