« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Serrurerie » : différence entre les versions

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présente ce travail pour ne pas brûler le fer, et pour lui donner rigoureusement
le degré de chaleur qu'exige une bonne soudure. Il est évident
que cette triple opération de battage à chaud, que ces superposi-*superpositions de brindilles et d'embrasses, donnent au fer une grande résistance
et assurent la solidité de la soudure première (celle des deux morceaux
de bandes), en la renforçant et en la soumettant plusieurs fois au feu
et au martelage. L'ornementation est donc ici encore la conséquence du procédé de fabrication.
 
[Illustration: Fig. 13.]
 
Le commencement du XIII<sup>e</sup> siècle est l'apogée de l'art du forgeron. Les pentures de Notre-Dame, des grilles des abbayes de Saint-Denis, de Braisne, de Westminster; des pentures des cathédrales, de
Noyon, de Sens, de Rouen, etc., qui datent de cette époque<span id="note5"></span>[[#footnote5|<sup>5</sup>]], nous
montrent des exemples de forge qui ne furent pas dépassés, ni même
atteints; car nous ne pouvons considérer comme ouvrages de forge les
œuvres en fer battu et repoussé des XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles. C'est là un procédé
de fabrication tout autre et qui sort du domaine de l'architecture.
Dès la fin du XIII<sup>e</sup> siècle, on cherche à éviter les difficultés de soudure,
à remplacer les fers étampés à chaud par des moyens qui demandent
moins de force et moins de temps. Les forgerons reculent devant ce travail
qui exigeait, avec des bras robustes, des soins, une grande expérience
et une adresse de mains extraordinaire. On voit encore de jolies
pentures dans des monuments du XIII<sup>e</sup> siècle, qui, d'ailleurs, ne diffèrent
pas, comme procédé de fabrication, de celles que nous venons de
présenter.
 
Au commencement du XIV<sup>e</sup> siècle, les pentures prennent des formes
générales plus fines, plus découpées; les fers sont plats et ne demandent
plus un travail pénible.
 
[Illustration: Fig. 14.]
 
Voici (fig. 14) une penture de cette époque, provenant de la porte
nord de l'ancienne cathédrale de Carcassonne. Le galbe en est délicat,
cherché; les soudures, peu nombreuses, sont bien faites et n'ont pas été
renforcées et recouvertes par ces embrasses habituellement employées
jusqu'au milieu du XIII<sup>e</sup> siècle. Cette penture date de 1320 environ.
 
Voici encore (fig. 15) une penture très-simple, mais bien combinée,
qui provient d'une porte de l'église Saint-Jacques de Reims, et qui date
du milieu du XIV<sup>e</sup> siècle. Le vantail de la porte est à pivots P, et les pentures
ne sont, à vrai dire, que des bandes doubles qui pincent les traverses
de la porte avec les frises, ainsi que le fait voir la section A.
Extérieurement, la face de cette fausse penture n'est décorée que par
une arête saillante et des clous fort joliment forgés. En C, sont tracés
la face et le profil d'un de ces clous principaux. En D, est donnée
la section de la penture, dont les bords n'ont que 5 millimètres, et
le milieu 8 millimètres.
 
On en venait, pour ces sortes d'ouvrages de serrurerie fine, du fer soudé
au fer battu, découpé à l'étampe ou au burin, puis martelé à froid ou à
une température peu élevée. L'usage qui se répandit, dès le XIV<sup>e</sup> siècle,
de fabriquer des <i>plates</i>, c'est-à-dire des pièces d'armures de fer battu et
repoussé, mit ce genre de travail en vogue, et pénétra jusque dans la
serrurerie fine de bâtiment.
 
[Illustration: Fig. 15.]
 
Pour les pentures à cette époque, elles sont plus souvent prises dans
une pièce de fer battu et découpé qu'obtenues au moyen des soudures,
comme précédemment.
 
Nous présentons ici (fig. 16) un exemple de ces sortes d'ouvrages du
XIV<sup>e</sup> siècle<span id="note6"></span>[[#footnote6|<sup>6</sup>]]. En A, est figurée la penture, ou plutôt le morceau de fer battu
avant le découpage. Ce morceau de fer avait alors la forme donnée
par la moitié <i>abcde</i>. Bien corroyé au marteau, également aplani, découpé
au burin sur ses bords, on a tracé sur sa face externe les linéaments
indiqués sur notre dessin. Alors la pièce <i>iklm</i> a été coupée et
enlevée. Mettant au feu la partie A<i>d</i>, on l'a tordue de champ, ainsi que
le fait voir le côté achevé B; remettant au feu la palette D, on a écarté
chacune des branches de façon à obtenir les ouvertures d'angles <i>g</i>. Les
 
[Illustration: Fig. 16.]
 
trois branches ont elles-mêmes été recoupées au burin et façonnées au
marteau, comme le montrent les folioles <i>h</i>. Le travail a encore aminci le
fer en l'étendant, et l'on a pu terminer la partie sans la remettre au feu.
Les bouts des folioles sont légèrement recourbés en dedans, de manière
à appuyer sur le bois et à éviter des aspérités qui écorcheraient les vêtements
des personnes passant le long du vantail. Il a été procédé de
même pour la branche E, et pour le bouquet F. Outre les clous, dont les
trous sont marqués sur notre figure, une bride G maintenait le collet de
la penture contre le montant du vantail. En H, est tracé le profil de la
penture, et en I, le détail de la bride avec ses bouts fourchés propres à
être rivés en dedans du montant.
 
À propos de cette bride, nous signalerons ici certaines pentures composées
d'une simple bande, et qui ne sont pas clouées sur les vantaux,
mais maintenues seulement au moyen de brides rivées. En L, est un
exemple de ces sortes de pentures employées parfois lorsque les portes
ne se composent que de frises clouées sur des traverses. En M, le profil
de la penture L montre les brides enfoncées, et dont les bouts pointus
doivent être rabattus sur la traverse P, de manière à la bien serrer.
Alors ces brides O ont exactement, de <i>p</i> en <i>s</i>, la largeur de la traverse.
 
Ces modifications dans les procédés de fabrication de ces pièces de
serrurerie fine devaient conduire peu à peu à l'emploi du fer battu rapporté
après coup sur le corps principal de la penture. Cependant
l'Allemagne
nous précéda dans cette voie de l'emploi du fer battu et repoussé
comme moyen décoratif de la serrurerie fine. Déjà, vers la fin du
XIV<sup>e</sup> siècle, on voit dans des ouvrages de serrurerie allemande, notamment
à Augsbourg, à Nuremberg, à Munich, des fers battus employés
comme ornements, et que nous appellerions aujourd'hui de la tôle repoussée,
tandis qu'en France, ce mode ne paraît guère adopté avant le
commencement du XV<sup>e</sup> siècle pour des ouvrages de quelque importance.
 
La figure 17 expliquera l'emploi de ce procédé mixte<span id="note7"></span>[[#footnote7|<sup>7</sup>]]. La bande de
la penture est une simple barre de fer plat de 0<sup>m</sup>,09 de largeur sur
0<sup>mm</sup>,009 d'épaisseur au plus.
 
Sur cette bande a été rapporté un ornement de fer battu découpé et
repoussé; puis sur l'ornement, une baguette de fer forgé étampé en
façon de torsade, avec œils renflés pour recevoir les clous, et tête d'animal
à l'extrémité. L'ornement de tôle est, en outre, percé de trous pour
recevoir des clous, soit passant à travers la bande, soit enfoncés directement
dans les frises du vantail. En A, est présentée la section (au double)
de la bande, avec le mouvement de l'ornement, la baguette de recouvrement
et les têtes de clous. En B, le profil de l'extrémité de la penture,
avec la tête d'animal terminant la baguette. Ce mode permettait d'obtenir
une ornementation très-riche à peu de frais; et sans avoir recours
aux soudures. Cependant, parfois, ces fers battus, d'une épaisseur d'un
millimètre environ, sont soudés sur une âme, à chaud, et sans interposition
d'une matière plus fusible que le fer. Il faut dire que ces sortes de
ferrures n'étaient guère posées directement sur le bois; mais sur une
toile, ou une peau, ou un feutre marouflé sur le vantail. D'ailleurs il en
était de même pour la plupart des pentures, et l'on trouve encore les
traces de ces marouflages. Les pentures de l'église d'Ébreuil, que nous
avons données au commencement de cet article, sont, ainsi qu'il a été
dit, posées sur une peau soigneusement appliquée sur le vantail et peinte
en rouge.
 
[Illustration: Fig. 17.]
 
Voici un exemple (fig. 18) qui fera comprendre en quoi consiste ce
procédé d'application de plaques de fer battu, découpées et soudées sur
une assiette de fer forgé. Soit A une bande de fer forgé. Deux lames de
fer battu de 0<sup>m</sup>,002 d'épaisseur environ, <i>a</i>, <i>b</i>, et découpées suivant le
tracé B (moitié d'exécution), composent une redenture à deux plans;
ces lames, après avoir été rendues solidaires par des rivets, sont appliquées
sur la bande de fer forgé, celle-ci étant rougie au feu. Au même
moment, deux bandes de fer <i>c</i>, <i>c</i>, chauffées au rouge blanc, sont adaptées
le long des rives des lames de fer découpé, puis frappées à l'étampe,
qui, les soudant, leur donne une ornementation en torsade ou en
demi-rond.
Ces deux languettes, se soudant à la bande de fer, maintiennent
les lames de fer découpées. Des trous sont alors percés au milieu des à-jour
pour permettre de clouer la penture sur le vantail. Souvent des
ornements de fer repoussé <i>d</i>, en façon de rondelles, contribuent à décorer
la tête des clous.
 
En D, l'œil de la penture est figuré, celui-ci étant double et le scellement
portant de même un œil. Un boulon passe à travers ces œils, et
forme une sorte de paumelle qui remplace le système de gonds indiqué
dans les précédents exemples.
 
[Illustration: Fig. 18.]
 
On ne renonçait pas absolument, pendant le XV<sup>e</sup> siècle, aux fers soudés
et étampés dans la fabrication des pentures, car il existe encore
bon nombre de ces ouvrages qui, sans atteindre la perfection et l'importance
de ceux des XII<sup>e</sup> et XIII<sup>e</sup> siècles, fournissent des objets de serrurerie
fort recommandables.
 
Si cette penture (fig. 19), dessinée à Thann (Haut-Rhin), est dépourvue
de ces embrasses et de ces nerfs rapportés sur les soudures des ouvrages
du XIII<sup>e</sup> siècle; si elle est en grande partie obtenue par les moyens de
découpage à chaud indiqués figure 16, ses fleurons d'extrémités sont
soudés cependant aux tigettes, puis étampés et burinés après l'étampage.
 
Sa composition, d'ailleurs est gracieuse, et bien entendue pour maintenir
ensemble et sur une grande surface les frises du vantail. Le burinage
et le découpage, vers le milieu du XV<sup>e</sup> siècle, prenaient, dans les
ouvrages de serrurerie, une importance d'autant plus grande, que le
martelage à chaud était plus négligé. Ce qui tend à dire que les outils se
perfectionnant, la main de l'ouvrier perdait de son habileté.
 
L'œuvre de Mathurin Jousse fait assez connaître, cependant, qu'au
commencement du XVII<sup>e</sup> siècle encore, les maîtres serruriers avaient
conservé les traditions de l'art du forgeron; et les renseignements que
donne cet auteur sur les diverses natures de fer, sur la manière de traiter
ce métal au feu et sur l'enclume, sont le résumé d'observations
très-justes
et d'une connaissance exacte de la pratique.
 
[Illustration: Fig. 19.]
 
Ce qui mérite de fixer l'attention en dehors de la forme plus ou moins
bonne donnée aux ouvrages de serrurerie du moyen âge, c'est le soin avec
lequel tout est prévu pour que ces pièces aient exactement les dispositions
qui leur conviennent. Quand l'architecte monte les pieds-droits
d'une porte, il prévoit la place des scellements des gonds, et si même
la porte est d'une grande dimension, ces gonds sont posés entre des
assises, en bâtissant; quand il donne le dessin des vantaux, c'est encore
en prévoyant exactement la position de toutes les ferrures, qui ne sont
jamais dissimulées. Quand les ferrures sont prêtes à poser, il n'y a plus
d'entailles à faire dans le bois ou dans la pierre, et chaque objet prend la
place qui lui a été assignée dès le commencement de l'exécution. Ainsi,
par exemple, pour des portes intérieures qui doivent battre exactement
dans les feuillures, afin que la saillie de la penture ne vienne pas empêcher
l'application immédiate du vantail contre le pied droit, le collet de
la penture est souvent détourné.
 
[Illustration: Fig. 20.]
 
(Fig. 20.) Dans ce cas, la dernière frise de la porte A a été rapportée
après coup et maintenue avec les autres frises par des prisonniers, et
sur le collet de la penture par un dernier clou B, rivé en dehors, au
lieu d'être, comme les autres, rivé en dedans. Cette disposition existe
déjà dès le XII<sup>e</sup> siècle. Aussi le vantail peut-il exactement battre dans sa
feuillure, sans qu'il soit nécessaire d'entailler le tableau pour loger la
saillie du collet de la penture.
 
Il n'est pas de détail insignifiant, quand il s'agit de faire concorder les
divers corps d'états à cette œuvre commune qu'on appelle l'architecture.
Les belles époques de l'art sont celles où le maître de l'œuvre sait prévoir,
dès l'origine de la structure, toutes les parties, sait leur assigner
une place sans avoir à retoucher ce qui est fait. Si le dernier objet à
placer dans un édifice en construction prend exactement, à l'heure dite,
la position qu'il doit occuper, le constructeur est un maître. Il ne
saurait se donner cette qualité, si son œuvre ne s'élève qu'à l'aide de
tâtonnements de changements perpétuels, de repentirs; s'il lui faut,
pour poser ses derniers ouvrages, tels que la menuiserie et la serrurerie
fine, recouper par ici ou recharger par là. Tous ces tâtonnements sont
bons sur le papier, non sur le monument.
 
[Illustration: Fig. 20.]
 
En laissant apparente toute la serrurerie fine, les maîtres du moyen
âge étaient bien forcés de lui donner sa vraie place comme sa véritable
forme. De plus, il leur était aisé de reconnaître si l'ouvrage était bien
fait. Quand nous entaillons aujourd'hui des équerres, des pentures, des
attaches de paumelles, des bandes, dans la menuiserie, et que tout cela
est recouvert de trois couches de peinture, il est assez malaisé de reconnaître
si ces fers ont l'épaisseur voulue, si les vis sont bien posées,
et si elles ne sont point enfoncées comme des clous à coup de marteau.
L'architecte, en mentant sans cesse à la forme, à la destination vraie, est
la première dupe de son propre mensonge. Il est arrivé à si bien dissimuler
toute chose, qu'on le trompe aisément sur la quantité ou la
qualité, ou qu'on se dispense de mettre en place ce qu'il cherche si bien,
lui-même, à cacher aux yeux.
 
Mais retournons à nos forgerons. S'ils ont façonné les pentures avec
un soin particulier, ils n'ont pas moins attaché d'importance à la parfaite
exécution des gonds qui les suspendent. Ces gonds sont forgés
avec le meilleur fer, bien centrés, et presque toujours légèrement
coniques.
 
Nous avons dit que pour les grandes portes battant en feuillure, les
gonds sont posés en même temps que les assises des pieds-droits, dans un
 
[Illustration: Fig. 22.]
 
lit, afin d'être bien assurés du scellement. Pour les portes de moindre
importance, qui doivent se développer entièrement dans des intérieurs,
la feuillure étant près du parement (fig. 21), en A, le mamelon du
gond doit être assez isolé pour permettre le développement total du vantail;
de plus, il n'est guère possible de le sceller diagonalement dans
l'angle A, parce qu'on risquerait de faire éclater la pierre du parement.
Souvent alors ces gonds sont disposés ainsi que le montre notre figure.
Le mamelon est muni d'une queue B avec scellement inférieur en <i>b</i>,
qui forme ainsi comme une sorte de console, dont le dévers est arrêté par
le piton <i>c</i> passant dans le mamelon, sous l'œil de la penture. En D, est
tracée la face de la penture sur la traverse haute <i>t</i> de la porte. En E, est
tracée la coupe de cette traverse et des frises avec leurs
couvre-joints.
Par ce moyen, le poids de la porte ne risquait pas de faire fléchir l'embase
du gond ou d'arracher son scellement. Quand il s'agit de développer
un vantail de volet ou de porte sur un parement éloigné de la
feuillure, comme dans l'exemple fig. 22, en A, le mamelon du gond
devant être placé en <i>a</i>, au milieu de la distance <i>bc</i>, il est clair que,
non-seulement le collet de la penture doit être détourné en équerre,
mais que l'embase du gond doit être très-allongée; alors le scellement
en <i>d</i> ne saurait avoir aucune puissance. Le mamelon <i>m</i> est donc forgé à
l'extrémité de la console C, qui porte son scellement <i>e</i>; puis un piton <i>p</i>
entre dans la partie inférieure du mamelon, est scellé en <i>s</i>, et sert de rondelle
à l 'œil de la penture <i>g</i>: de cette façon le vantail V se développe
en V', sans fatiguer l'embase allongée du mamelon et sans risquer de la
desceller.
 
Ces exemples suffiront pour faire voir comment, dans ces ouvrages de
détail, l'architecte du moyen âge apporte le soin, le raisonnement,
l'attention, la logique qui président aux ensembles. Si le besoin, si la
vérité, exigent l'emploi de dispositions qui attirent le regard et qui prennent
de l'importance, on ne cherche pas à dissimuler ces dispositions,
mais à les décorer, en leur donnant l'apparence qui signale le mieux
leur raison d'être. C'est ainsi que l'art s'introduit dans tout, qu'une
architecture se forme, parce qu'elle affirme sans cesse les principes vrais
et sincères qui la dirigent.
 
Nous nous occuperons des fermetures des huis et des autres pièces de
serrurerie qui sont fixées sur les vantaux des portes, soit pour les maintenir
fermées, soit pour les tirer à soi.
 
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Ligne 608 ⟶ 895 :
 
<span id="footnote4">[[#note4|4]] : Cette porte est celle de droite, sur la façade occidentale de Notre-Dame de Paris.
 
<span id="footnote5">[[#note5|5]] : Voyez GRILLE. Voyez aussi la <i>Serrurerie du moyen âge</i>, par M. Raymond Bordeaux. Oxford, Parker, 1858.
 
<span id="footnote6">[[#note6|6]] : Provenant de l'abbaye de Poissy. Cette penture était encore, en 1847, entre les
mains d'un habitant de Poissy, et faisait partie de sa collection.
 
<span id="footnote7">[[#note7|7]] : D'un fragment de pentures (commencement du XV<sup>e</sup> siècle) d'une maison à Gallardon.