« Page:Condorcet - Œuvres, Didot, 1847, volume 4.djvu/157 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> {{tiret2|volup-|tueuses}} on plaisantes qui amusent l’imagination, ou réveillent la gaieté, prit un caractère plus philosophique, et devint, comme l’apol... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<nowiki />
<nowiki />
{{tiret2|volup-|tueuses}} on plaisantes qui amusent l’imagination, ou réveillent la gaieté, prit un caractère plus philosophique, et devint, comme l’apologue, une école de morale et de raison ; des épîtres où, si on les compare à ses premiers ouvrages, l’on trouve moins de
{{tiret2|volup-|tueuses}} ou plaisantes qui amusent l’imagination, ou réveillent la gaieté, prit un caractère plus philosophique, et devint, comme l’apologue, une école de morale et de raison ; des épîtres où, si on les compare à ses premiers ouvrages, l’on trouve moins de
correction, un ton moins soutenu et une poésie
correction, un ton moins soutenu et une poésie
moins brillante, mais aussi plus de simplicité et de
moins brillante, mais aussi plus de simplicité et de